Avouer à Raph qu'elle portait son fils n'avait pas été facile,mais il avait bien réagit,pour l'instant.Il lui faisait suffisament confience pour croire que c'était bel et bien son fils.Une femme aux mauvaises intentions aurait pu profiter de Raph,mais Val' n'était pas ce genre de femme.La blonde portait un petit poupon qui d'ici moins d'un mois allait montrer le bout de son nez.Le temps passe si vite,le blonde voulait que Raph le voit grandir,c'était bien la moindre des choses qu'elle pouvait faire.Valéria ne voulait pas qu'ils forment une petite famille parfaite.La jeune femme avait sa vie,et elle était habituée à la solitude.D'ailleurs son caractère était sûrement l'une des raisons,elle avait très peu de patience,si on lui résistait c'était à vos risque et prérils.Normalement les hommes lui résistaient que très peu,mais se voir vivre avec l'un d'eux,était hors de question,peu importe qui il était.Il faudrait que la vélanne en parle avec Raph,mais celui-ci la devança.Il voulait l'aider financièrement,venir la voir et surtout voir le petit,la blonde ne pu que sourire.

Raphaël,merci....je ne t'en demandait pas autant.... Mais oublit ça qu'on forme une famille unie,tu as ta vie,et moi la mienne.Bien que nous allons avoir un enfant, je crois pas que se soit la meilleure idée de vivre ensemble...Tant que tu viens voir le petit,c'est parfait.

C'était mieux ainsi,le petit comprendra un jour lorsqu'il sera plus grand.En parlant de ce petit,Raph demanda s'il avait déjà un prénom.Valéria avait penser à quelques un,mais celui qui était resté était Tristan.Un prénom que la belle adorait,il sera comme son père,fier,fort,un chef,il brillera dans ce monde.La jeune femme ne doutait jamais de cela,elle savait que son fils serait unique.

Tristan

****

Dans chaque ébats,il y a toujours un qui aimait contrôler,dominer l'autre,faire de lui ce qu'elle voulait.Quant à Valéria elle aimait bien que les autres soient soumis à sa volonté,mais ce qu'elle aimait par dessus tout c'est qu'on la domine,peu avait essayer,mais ceux qui avait réussit avait eu la belle à leur pieds.Raphaël entrait dans le jeu,se laissant faire,comme tout homme devrait faire.Assise sur son bassin,elle détacha un bouton de sa robe,puis deux,et suivit d'un troisième.On pouvait voir la naissance de ses seins,son soutien-gorge était noir comme sa robe.Se mordant sensuellement la lèvre inférieure,la belle déboutonna le reste des boutons de sa robe,la laissant tomber doucement sur le trose du jeune homme.Ce dernier se redressa sur bras,regardant sa peau,son corps,son visage.La blonde quant à elle le regardait,se disant que les vêtements de Raph était de trop,mais d'ici peu elle les enleverait.Tendant le cou pour l'embrasser,la belle s'approcha et posa ses lèvres pulpeuses sur les siennes.

Il pris la main de la blonde pour la posé sur sa chemise,comprenant assez rapidement ce qu'il voulait,elle défit rapidement les boutons de sa chemise,voulant sentir sa peau contre la sienne,voulant la goûter.Raphaël était tout un homme,ses bras étaient si musclés,ses épaules si grandes,si séduisant,rien de plus sexy chez un homme.Il la pris dans ses bras,serrant sa taille,la belle pour ne pas tomber enroula ses jambes autour de sa taille,ce qui accentuait d'avantage le contact entre eux deux.Arrivé aux derniers boutons,il la fit basculer sur le lit,la jeune femme le regardait avec un sourire malicieux.Il s'allongea au dessus d'elle,ses vêtements étaient maintenant au sol,d'un moins ceux du haut.

Chaque personnes avaient son histoire,chaque coeurs avaient ses souvenirs,chaque corps avaient ses cicatrices,son véçu.Celui de Raph en avait du véçu,on le voyait par cette marque de griffure sur son abdomen,son tatouage circulaire,qui intriguait la belle.Que pouvait-il signifier? Chaque tattouage avait une raison d'être,son emplacement avait encore plus d'importance. Placer au niveau de son coeur,que pouvait-il bien signifier. Effleurant doucement de ses doigts son tatouage,elle suivait parfaitement sa forme.Intriguée par un autre de ses tatouages,qu'elle effleura doucement à nouveau avec ses doigts.Un mot sûrement mais en quel langue voilà la question ? Que pouvait-il signifier,le nom de son premier amour ? De son père ? Qui sais ? Une petite cicatrice en forme d'étoile se trouvait sur son épaule.La jeune femme fit descendre une de ses mains sur le dos musclé du jeune homme.Sous ses doigts elle sentait,une longue cicatrice qui arrivait jusqu'à sa hanche droite,et partait de son épaule gauche.Ce n'est sûrement pas souvent que Sorel se dévoile ainsi.

Valéria l'embrassa à nouveau,plus passionément.Raph était toujours trop habillé pour la belle,qui elle était en sous-vêtement.La belle caressait doucement le dos de Raph,partant de sa nuque jusqu'à ces reins,et en remontant.Avec son autre main,la belle touchait le torse du jeune homme,descendant peu à peu jusqu'à son pantalon.Ce n'était pas vrai que Val serait la seule en sous-vêtement.Commençant à déboutonner le pantalon de Raph,elle le dézippa doucement .Il faut l'avouer la belle mourrait d'envie d'avoir sa peau contre la sienne.D'une voix sensuelle,lorsqu'elle dézippa totalement le pantalon du jeune homme,elle dit

Oups je crois que vous devez l'enlever....

Son sourire malicieux aux lèvres,elle le fit basculer de sorte qu'elle était au dessus.Valéria tennait à lui retirer son pantalon.Elle commença par embrasser les lèvres du jeune homme,puis elle descendit dans son cou,son torse,son ventre,jusqu'à arriver à son pantalon dézipé.Elle le regarda,puis commença à l'enlever.

Valéria Van Cleeve a écrit:

Tristan

Ce prénom résonna curieusement a ses oreilles, si nostalgique, mystérieux, romantique... Il avait toujours aimé le prénom de son grand-père maternel, Tristan Valentine, quelle heureuse coincidence! Raphaël se surprit a penser qu'il n'était pas bien vieux pour être père pour la première fois. Si il arrivait a 40 ans son fils aurait la vingtaine, mais encore fallait-il vivre aussi longtemps! Et élever son fils sans la sombre présence de Voldemort au-dessus d'eux. C'était dur, terrible même de devoir réaliser qu'on va devenir père et qu'on ne pourra rien changer a cela.

Raphaël avait été préparé a faire face a toutes les situations... Du moins le pensait-il jusqu'a maintenant. Et puis une question lui traversa soudain l'esprit et il faillit céder a la panique. Sans s'alarmer pour autant il se rapprocha encore plus de Valéria, l'air grave mais le regard clair. Il passa la main sous son menton et le releva pour qu'elle le regarde. Il demanda d'une voix calme et limpide:

_Est-ce que quelqu'un sait que je suis le père? Dis-moi Valéria je dois tout savoir, c'est très important!

Si quelqu'un d'autre venait a le savoir... Cet enfant pourrait être un moyen d'atteindre Raphaël, de plus Valéria courrait le risque d'être suspectée de terrorisme... Ce serait une catastrophe pour elle. Raphaël était sans doute le plus mauvais choix possible pour être le père de son enfant par les temps qui courraient. Oh après lors d'un climat politique normal il aurait sans doute été un excellent parti: famille aisée, intelligent, beau et plutôt doué... Mais la sa condition de suspect et l'atmosphère de doute qui planait autour de lui n'arrangeait pas d'éventuelles affaires familiales.

Et puis même ici... Surtout ici, personne, absolument personne ne devait apprendre que Raphaël avait un enfant. Si quelqu'un venait a l'apprendre les conséquences seraient... Terribles!

Puis il ajouta avec un sourire ravageur, irrésistible:

_Tristan est un prénom magnifique. Tu as bon goût.

***

Le scène devenait triviale, Raphaël sentait la tête lui tournait, il s'évadait par la première issue de secours a portée, les bras et la bouche de Valéria. Elle était belle, indomptable, le genre de femmes que Raphaël appréciait. Elle passa ses doigts sur ses tatouages puis sur ces cicatrices et enfin sur la boursouflure de son dos, le jeune homme frissonna a ce contact. Elle l'allongea sur le lit et commença a l'embrasser, sur la bouche, puis elle s'attarda sur chaque morceau de son torse jusqu'au moment ou une de ses mains s'accrocha a son pantalon et qu'elle ne commence a le lui retirer.

Raphaël sourit d'une expression ostensible de ravissement. Il avait l'air d'un très grand enfant qui venait de recevoir une merveilleuse surprise. Par réflexe ses bras s'étirèrent et ses doigts se crispèrent sur les draps dont il s'enroula. Une fois mis quasiment a nu il se redressa et attira Valéria a lui. La serrant contre sa peau il tourna dans le lit avec elle, s'enroulant dans les draps qui renforçaient l'intimité et la promiscuité.

Il l'embrassa, la toucha, caressant sa peau satinée, sans aucun défaut. Et enfin il se mit sur un côté, regardant Valéria. Raphaël avait des yeux d'une clarté polaire, il se souvint de celle qui une fois lui avait dit qu'on avait pris deux morceaux d'aurore boréale pour créer la couleur de ses yeux. Insondables, clairs mais pourtant si profond et mystérieux, comme enivrant, une invitation. Raphaël par ce regard invita Valéria a voyager avec lui.

_Je crois aussi que nous devrions tout enlever ne pensez-vous pas?

Il l'embrassa encore et toujours. Et ce faisant ses mains rencontrèrent le tissu des derniers sous-vêtements de la femme étendue avec lui dans ce lit.

Tristan était le prénom que désirait Valéria pour son enfant, pour bien des raisons ce prénom irait à merveille à son fils. Intérieurement elle savait que son fils serait un chef, qu’il serait un homme droit, aventureux et courageux comme son père. La jeune femme espérait que Raphaël apprécie le prénom qu’elle avait choisi. Tristan l’avait toujours fasciné comme prénom, petite sa mère lui lisait sans cessez l’histoire de Tristan et Iseult. Une histoire d’amour qui a traversée les siècles, où dans la mort des amants on peut voir la réalisation suprême d’un amour qui dépassait nécessairement les bornes du monde des hommes. C’était ce que la belle blonde aimait de cette histoire, un amour au dessus de tout dont rien ne pouvait éteindre. Ni la noblesse, ni son devoir envers son royaume, son oncle Marc n’empêcha Tristan de fuir avec Iseult et de l’aimer. Tristan fini alors par mourir de chagrin se croyant abandonné par l’être aimer.

Lorsque Valéria y pensait, sa mère était comme Tristan. Elle avait connue un amour au dessus de tout, même de la vie. La mère de Valéria était morte de chagrin, abandonnée par l’être aimé. Peut-être que sa mère savait comme elle allait mourir, et ainsi pour prévenir sa fille elle lui lisait sans cesse l’histoire de Tristan et Iseult ? Qui sait.

Perdue dans ses pensés elle ne remarqua pas que Raphaël c’était rapprocher d’elle. C’est lorsqu’il passa sa main sous son menton, qu’elle fini par le regarder. Son regard était clair, mais il avait pourtant l’air grave, quelque chose le dérangeait. Sa voix brisa le silence, et par le fait même écarta toutes ses questions. Souriant d’un air amusé, Valéria lui répondit calmement.

- Personne ne le sait, j’ai prétendue que le père était un Bulgare que j’ai connue lorsque je rendais visite à la famille . . .

Dit-elle en souriant, sachant qui était le père du petit qu’elle portait son instinct maternelle lui disait de mentir pour la sécurité de sa progéniture. Elle ne pouvait pas dire qui était le père du petit, pour son bien ainsi que pour le bien de Raphaël. Le petit saura qui est son père, mais devra apprendre à garder un secret. Raphaël était un bon partie, beau, de famille aisée, intelligent, mais pas dans ce monde où le règne de Voldemort faisait rage. D’un sourire ravageur et enivrant un de ces sourires qui avaient su la faire chavirer il ya quelque année, il lui dit que le prénom choisi pour le petit était magnifique. D’un air malicieux, la jeune femme le regarda.

- C’est pour cela que nous avons passé une nuit ensemble, parce que j’ai bon goût . . .

***

Parcourir la moindre parcelle de peau de celui avec qui elle passait la nuit était ce dont Valéria adorait faire. Goûter, embrasser, effleurer avec ses doigts ou avec ses lèvres pulpeuses. Lorsqu’elle arriva au niveau de son pantalon, elle le regarda se mordant sensuellement la lèvre inférieure elle lui retira son pantalon. Il avait l’air ravi, très ravi, tant mieux c’était le but recherché par la blonde. Continuant à sa descente, elle embrassa toutes les parcelles de peau dont elle voulait goûter et dont elle prenait un malin plaisir à s’y attarder avec ses lèvres.

S’enroulant avec les draps, une fois mis à nu, Sorel attira la jeune femme contre sa peau qui devait de plus en plus brûlante. Toujours plus proche l’un de l’autre, sentant son cœur battre. À chaque contact de ses lèvres contre celles de Raph, elle mourait d’envie de plus comme s’il lisait en elle, il répondait à ses envies en touchant et caressant sa douce peau. Elle aussi répondait à ses caresses, en caressant ses cheveux blancs doucement lorsqu’il l’embrassait, posant ainsi sa main sur sa nuque.
Se mettant sur un côté, il la regardait, il avait un de ses regards. Clairs, insondables, profonds, mystérieux, mais si enivrants. Bien que profond et mystérieux, son regard faisait transparaitre certaines émotions, tel que l’envie.

- Bonne idée Monsieur Sorel . . .

L’embrassant à nouveau aussi passionnément qu’au début, sans lâcher ses lèvres, ses mains se posaient sur le dernier bout de tissue que portait la jeune femme. Perdant le nord lorsqu’il a la touchait, comme pouvait-elle résister. Son cœur battait la chamade, les douces mains de la jeune femme se baladaient sur le corps de Raphaël, descendant toujours plus bas, s’attardant, en effleurant de ses doigts sa peau brûlante.