L'amour,ah l'amour ! Doux sentiment en apparence,mais si cruel. Le connaissez vous ce sentiment ? Voulez vous le vivre ? Le connaître ? Le sentir ? Sûrement l'avez vous déjà connu dans sa plus faible expression. Mais ce n'est pas tout le monde qui veux le resentir,le vivre... Valéria était l'une d'être elle,elle ne voulait pas resentir l'amour ni le vivre,elle savait bien que le risque à prendre était trop gros. Vivre d'un amour partagé ou mourrir parce que l'amour ne fut pas réciproque ? Alors qu'allez vous choisir ?

Notre belle jeune femme ne voulait pas finir comme sa mère,mourrir d'un amour non partagé. Mais l'amour est plus fort que tout,que l'esprit,que la raison.Toutes ses réflexions hantaient l'esprit de la vélane depuis quelque jours.Pensant à Harold,celui pour qui elle éprouvait un sentiment si fort, qu'elle le niait ne sachant pas s'il était partagé. Pour en avoir le coeur sur elle avait envoyer sa chouette blanche comme neige,au regard vitreux couleur d'encre, chez Harold pour lui déposer la lettre suivante.

Cher Harorld,
Rejoint moi au Hide Park,c'est urgent...
J'ai besoin de te voir...

Valéria Van Cleeve

Marchant doucement jusqu'à destination,elle portait une petite robe blanche,par dessus un manteau de laine noir.Et des pottes en suède étaient sur ses pieds de la même couleur que son manteau.Elle s'assis tranquillement sur un banc passant à Harold.Si lorsqu'elle le voyait elle resentirait le besoin d'être avec lui,elle tenterait sa chance.Il n'est jamais trop tard pour découvrir l'amour....

Le temps passait lentement,elle l'attendait.Ce qui lui permettait de réfléchir.Se rendant compte qu'elle n'était qu'une conne de vouloir risqué sa vie par amour,elle se leva du banc se dissant à haute voix

Je ne suis qu'une conne !

Et baff elle rendra dans une personne,pas n'importe qui,Harold. Celui-ci eu le réflexe de la prendre dans ses bras,évitant ainsi Valéria de tomber.Le regardant dans les yeux,le sentiment était toujours là,toujours aussi fort.Disant toute timide.

Hmmm Bonsoir....Désolé je...je ne suis qu'une conne....

]Sortant de l'emprise de ses bras,elle voulait partir,ce qu'elle essaya de faire.En lui disant

Désolé je t'ai fait venir ici pour rien.... vraiment désolé...

Côté amour, notre homme avait connu les baffes. Oui, que cela en fait. En l'espace de même pas dix secondes, un aller-retour phénoménal ! En plus, c'était le matin ! Cela réveil très bien.

Il n'y a pas si longtemps que cela, il avait entendu parler de sa petite voisine. Enfin, dirons-nous plutôt ex-petite voisine, puisque depuis, le jeune homme avait été contraint de déménager... Déjà, ses parents étaient décdés tous les deux, et aussi parce qu'un employé de la Gazette du Sorcier, mais surtout un sorcier habitant une maison moldue... Bon, s'il était marié à une moldue, cela passait pour lui, en revanche, pour la moldue... N'imaginons pas cela ! Donc, depuis cela il vit... dans son bureau.

Il avait écrit un article, sur l'arrestation d'un certain Kameron Blink, où figurait les noms de May Sawyer, et Valéria Van Cleeve - cette dernière étant la petite voisine d'Harold, mais aussi une amie. Peut être plus que cela ? Roh, Thompson savait que c'était une Vélane, et les Vélanes avaient du charme... trop de charme. Beaucoup trop ! A un tel point qu'un jour, Hassan Mostafa, arbitre de la rencontre Irlande - Bulgarie - qu'à était voir Harold avec son ami Charlie et son père -, avait roulé ses muscles et lissé sa moustache l'air surexité, devant les Vélanes. Enfin, bref, était-il vraiment amoureux de la jeune femme, ou était-ce son charme de Vélane ? Celui-ci pouvait faire faire n'importe quoi à un homme. Le journaliste sommeillait dans son canapé, ronflant bruyamment dans la pièce, lorsque soudain :

«　THOMPSON, VIREZ MOI CETTE FOUTUE CHOUETTE !　»

Complètement surprit, et aussi parce qu'il était tout au bord du canapé, il tomba à terre, dans un bruit sourd. A peine réveillé, il marmonna un : « Hmm ?　». Le patron se fâchait de plus belle.

«　VOTRE CHOUETTE THOMPSON ! CHOUETTE !　»

Une chouette ? Qu'est-ce que venait faire une chouette ici ? Se levant avec peine, la tête encore dans les choux, il se dirigeait vers son bureau, où s'était posé la chouette, qui hululait.

«　Rah tais-toi, toi ! Le patron t’as repéré à cause de ça !　Au fait, c’est qui ton maître ?　». En guise de réponse, il eut droit à des hululements. Harold soupira, avant de détacher un mot, de la patte de la fameuse chouette blanche.

Cher Harorld,
Rejoint moi au Hide Park,c'est urgent...
J'ai besoin de te voir...

Valéria Van Cleeve


Hyde Park ? C'est un endroit dans Londre, une partie moldue. Le jeune homme avait bien entendu renvoyé la chouette, et jeta un regard à la porte, que venez de quitter "M'sieur l'Patron" ! Il prit alors sa baguette, au cas où, sa veste, et son chpaeau de cow-boy. Les Western, qu'est ce qu'il adore cela ! Inutile de sortir la grande cape super jolie. Il se rendait dans une banlieue remplie de moldus, qui ne connaissaient pas l'existence des sorciers. En transplanant, c'était vite fait.


«　Waaaaaah ! Comment vous faites m’sieur ?　», avait demandait une voix enfantine. Le m’sieur en question, regardait le petit garçon. Mince, il s’était fait repéré !

«　Quoi ? J’ai rien fais d’incroyable, je marches comme tout le monde, en me servant des deux jambes que Dieu m’a léguait, petit. Tu as dû avoir une petite hallucination…　» En disant cela, Harold regardait aux alentours, et pointa sa baguette sur le garçon, histoire de lui faire oublier cela. Comme si de rien était, le petit gars repartait en courant, avec son ballon dans les mains. Thompson lui, le regardait. Le football ! Quel sport ! Cela lui manquait, mais le Quidditch était très bien aussi.

Continuant de marcher, les mains dans les poches, le chapeau rabaissé, tel John Wayne, il entendit une jeune femme, qui lui rentrait dedans. Harold était un véritable aimant de demoiselle ambulant. Bon, d'accord, ce n'est pas tout à fait vrai. La rattrapant tout de même, il constatait que c'était Valéria. Pendant quelle était dans ses bras, il la dévisageait. Elle était toujours aussi belle. Le journaliste la tenait toujours, et c'est elle finalement, qui se dégageait.

«　Bonsoir, ma blonde adorée　», répondait Harold. Il la taquinait, elle le savait. Ils se taquinaient souvent tous les deux, étant petits. «　Ah non ! Ne pars pas, éh ! Je me suis fais rouspéter avec ta chouette, reste là !　»

Idiote voilà ce qu'elle était,une idiote rien de plus.Pourquoi avait-elle envoyer ce message à Harold.Elle qui ne pouvait se permettre de l'aimer,elle qui risquait tant.Pourquoi avait-elle envoyer ce message ?Pour empirer d'avantage la situation,Valéria en voulant fuir tomba sur Harold.Ce dernier la rattrapa,ce qui permis à Valéria de le dévisager.Son regard avaient toujours cette étincelle qui brillait,son visage était toujours aussi doux,mais viril.Ses cheveux étaient couvert par un capeau de cowboy qui le rendrait si irrésistible.Cette barbe mal rasé,qui ne fessait que craquer d'avantage Valéria.Plongeant dans son regard,elle fini par reprendre le dessus sur ses émotions.Elle s'éloigna de lui en excusant.

Celui-ci lui dit de rester.Partir ou rester ? Quel choix faire ? Aller risquons nous. Se tournant vers Harold,s'approchant de lui elle lui dit doucement.

Ma vie n'est une nuit sans lune. Très sombre,il y a quelques étoiles,des points de lumière et de raison.Un jour une comète traversa mon ciel,elle donna un sens à ma vie.Cette astre solide et lumineux apporta tant de chose à ma vie,du sens mais aussi de la beauté. Mais quand elle disparu,mon univers fut plongé dans les ténébres.La raison me dictait de rester dans cette voie,pour mon bien pour ne pas risquer ma vie. Mais lorsque je me sentait seule,je savait dans mon coeur que la comète serait de nouveau de retour.... pour illuminer à nouveau ma vie... Ce qui est le cas aujourd'Hui....pour trouver enfin la foi en l'amour...

S'interronpant s'approchant de nouveau vers lui,elle tanta sa chance.Elle ne risquait pas grand chose.Lorsqu'elle lui dit tout cela,en parlant de la comète,elle parlait de lui.Elle avait beau suivre sa raison,tout le monde veux avoir vie avec un sens.S'approchant de lui,le regardant d'Un regard torturé,elle lui dit

Je vous aime Harold Bryan Thompson,je vous aime depuis que je vous connais....Je ne peux plus le nier...

Le gamin était partit. Harold avait pu remarquer que c'était un supporter de Manchester United, une sacrée bonne équipe. Néanmoins, notre homme lui était pour le Liverpool Football Club, une sacrée bonne équipe, et l'équipe de la ville où avait vécu Thompson. Avait, car il vivait maintenant dans son bureau. Continuant de marcher, quelqu'un le heurta de plein fouet. Pousser un juron ? Meuhh non ! Le journaliste n'était comme ça. Ne sachant pas qui c'était, au premier abord, il rattrapa tout de même la personne, avant de constater que c'était Valéria. Nom d'une bouse de dragon, elle était toujours aussi ma-gni-fique ! SPLENDIDE !

Le jeune homme dévisageait l'éxécutrice qui disait avoir fait venir Harold pour rien. Ah non, et Thompson avait protesté ! Cela faisait un bye qu'il ne l'avait pas vu... à par en photo dans la Gazette du Sorcier. Et croyez-moi, elle est beaucoup plus magnifique en vraie. Quelque chose d'autre attirer le jeune homme, autre chose que le charme de Vélane qu'elle avait. Seulement, il ne saurait dire quoi.

Soudainement, elle lui parlait de comète, lune, étoiles, ténèbres... Harold regardait la jeune femme d'un oeil suspect, cherchant à définir le sens de tout cela. Puis, son coeur faisait un bond. Elle l'aimait, elle l'aimait depuis qu'elle le connaissait, depuis... des années !

«　Euh…　», était le seul mot qu’il trouvait à dire. Se grattant la tête, d’un air timide et songeur, il ajouta : «　Je… je crois que je vous aimes aussi Valéria Van Cleeve…　Non, que dis-je ?　», se demandait-il à lui-même. «　C’est une certitude.　»

C'était la première fois de sa vie qu'il était ainsi hésitant. D'habitude, il aurait dit une connerie, peut être une gaffe... Cela lui faisait drôle.

Lorsqu'on est en amour c'est comment être sur le bord d'une falaise,et il faut se lancer dans le vie.Parfois on plonge au plus profonds des ténébres,parfois au contraire on arrive de l'autre côté et des moments inoubliables nous y attendent. Valéria s'avait enfin jetter à l'eau,et avait risqué tout.

Ayant vider son coeur,elle regardait d'un regard doux mais troublé Harold.L'aimait-il ? Ses sentiments étaient-ils réciproque ? Tant de questions,sans réponse,pour l'instant.

Attendant avec impatience les premiers mots de Harold.Souriant enfin,il l'aimait il en était certain.S'approchant doucement de lui,elle était plus qu'à quelques centimètres de lui.En caressant doucement la joue de Harold,en le regardant,tout les souvenirs lointains refirent surface.Les fois où lorsque Harold la taquinait.Les fois où Valéria l'espionnait par la fenêtre.

Doucement elle lui dit,la voix troublée.

Dois-je oser t'aimer ? Tu sais tout ce que je risque...

Tout ce qu'elle risquait était la mort,si celui-ci ne partageait pas le même amour qu'elle.Si celui-ci la trompait,il risquait la mort après d'affreuses souffrances.Il savait très bien qu'étant vélane,la jeune femme se ferrait désirer par les hommes.Serait-il capable de supporter cela ? La jalousie serait-elle partie de leur couple ?