La saison de Quidditch se poursuivait à Poudlard, on attaquait les derniers matchs, et forcément, les points se faisaient cher, très cher même.
Pour l'instant, deux équipes étaient en tête du championnat, il était rare de voir une égalité parfaite à ce niveau, seulement, la menace de se faire rattraper par les deux suivants étaient présentes, mais si Poufsouffle aurait du chemin à faire, Serdaigle semblait en position de faire barrage.
En apprenant que les serpents et les aigles allaient s'affronter, il y avait eu une mobilisation massive dans chaque équipe, particulièrement chez les verts qui avaient presque réussi à afficher un roster neuf et complet.
Chez Serdaigle, on misait sur des valeurs sûres, et on rappelait ceux qui avaient, fut un temps, fait leurs preuves.

Les deux capitaines emblématiques avaient réussi à motiver les autres élèves pour que le match soit grandiose et somptueux, nul doute qu'il le sera en voyant les compositions pour ce match de tous les enjeux.

L'arbitre, comme toujours, en habit officiel, n'eut pas besoin de se rendre sur le terrain ce jour là, la veille, une pluie fine avait ramollit le sable, mais ce jour là, c'était soleil, autant dire que les conditions seraient excellentes !
Le vieil homme passa dans les vestiaires pour vérifier les balais, donnant rendez-vous aux capitaines dans peu de temps sur la pelouse du stade.

Une fois ces formalités passées, il entra sur le terrain avec la fameuse malle que tous attendaient.
Les équipes firent leur apparition dans une vacarme digne d'une coupe du monde, les capitaines, droits et fières, se serrèrent la main, la tension était palpable, l'ambiance électrique, ce soir, ce serait un match de folie.

Les balles furent libérées, le souaffle, jeté en l'air suite à un coup de sifflet, annonçait le début d'un match plus qu'important.



Compo des équipes :

Serpentard :

Spoiler:

Serdaigle :

Spoiler:

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'Souaffle' :

Résultat :


20-0

La tention étaient à son paroxysme dans les stades du terrain de Quidditch de la célèbre école de Magie Poudlard. Deux maisons. L'une plus prestigieuse que l'autres. Ils ont faitt leurs preuves durant les matchs mais ses équipes commencent à s'essoufler. Pourtant ce soir les deux maisons on l'attention de donner le meilleur de ce qu'ils ont dans leurs tripes et boyaux. Amis dans le château deviennent ennemis dangeureux sur le terrain. Ces deux équipes sont Serdaigle et Serpentard. L'Aigle et le Serpent...que le meilleur gagne !

Victoria laça ses bottes brunes faites de cuires souples. Elle était tendu ce soir. Serdaigle avait essuyés une défaite absolument abominable face aux Gryffondor et la batteuse ne s'en remettait toujours pas. Chaques fois qu'elel y pensait ses poings se serrait. Si bien qu'elle faillis plusieurs fois se bousillé la cheville en enfilant ses bottes. Ses coéquipiers l'obsèrvèrent gardant un bon mètre de distance avec l'Aigle. Chacun savait que dans ses moments de concentrations intense il ne fallait pas la déranger. En effet la sorcière se préparait mentalement. Les Aigles avaient toutes leurs chances ce soir mais il fallait joué intelligemment. Honnêtement les stratégies n'avaient jamais été le fort de la Serdaigle. Mais en 7 ans elle avait quand même appris deux trois trucs. Incluants qu'après l'attrapeur c'était les batteurs qu'ils fallaient sortir histoire d'avoir champs libre pendant le match. Songeant à cela elle enfila sa robe de sorcier se ressassant els noms de ses adversaires de la maison du Serpent. Il y avait bien sur Lestrange, poursuiveur mais pas vraiment une teigne au Quidditch. Deux batteuses : Carla Mallory et Elize Kerman. Elle ne valait pas grand choses aux yeuy de Victoria mais évitons de se bercé d'illusions. L'Aigle avait appris à se méfier des Serpentards.

Le match était maintenant à cinq minutes de commencer. Tous le monde était prêts et Serpens terminaient son discour rabachant continullement la même chose. La Serdaigle se dit que se serait bien drole de lui foutre une torgnole pendant le match et quoi...sa passerait peut être innapercue. Et hors de Poudlard elle n'aurait pas souvent l'occasion de le faire alors...autant profiter !

C'est dans cet esprit de diabolisisme absolue que l'Aigle enfourcha son balais prenant sa place dans la fils. Tous s'encouragèrent mutuellement. Victoria croisa le regard de Tiéphaine. Elle avait l'air inquiète mais elle était présente ce qui était bon signe.

– Tu vas arriver ne t'inquiète pas !

Elle lui adressa un sourire rassurant mais s'en voulut presque aussitot. Damn it ! Cette fille lui rappelait Théodora et donc par conséquent ses propres erreurs. Ah non et non ! Elle n'allait pas se remmettre à culpabiliser de nouveau à cause de cette petite imbécile. Victoria souffla un beaucoup et décolla de son balais.

Le match débuta dans un concerts d'applaudissements et d'encouragements. L'Aigle fit tournoyé sa batte dans la mains, un sourire qui ne présageait rien de bon pour sesd adversaires, avait apparu sur son visages.

Immédiatement elle fusa à la poursuite des deux batteuses. Ses premières cibles qu'elle abattrait le plus tôt possible. Elle pris en chasse un oiseau solitaire égaré…

– Tu ne perd rien pour attendre...siffla l'Aigle entre ses dents.

Ses bon amis les cognards trainaient d'ailleurs par là. L'un d'eux fusa à droite de la cible ce qui détourna son attention. Parfait. Un autre cognard arriva en vue et Victoria frappa visant bien la tete de la cible qui ne risquait pas de s’en remettre…

- Voyons voir si tu va survivre à sa Lestrange…

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'Cognard' :

Résultat :



Gab' out pour 12h

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'Cognard' :

Résultat :



Vic' out pour 12h

Spoiler:

Serdaigle. Serdaigle c'était la maison la plus honorable selon moi. Une sorte d'endroit symbolique et tout à fait atypique, une maison pleine de secrets, de richesses et de beauté. On parlait de la maison des aigles comme étant celle des intellectuels, des sorciers plus "théoriques" que "pratiques", on la disait la "maison parfaite". Selon moi, elle ne valait pas forcément mieux que Gryffondor, ou même Poufsouffle, mais ce qui était certain, c'est qu'elle était largement supérieure à Serpentard. Cette dernière maison, celle des serpents, faisait état d'un tas de personnes ridicules, vulgaires, affreusement stupides, et horriblement méchantes. Je ne suis vraiment pas une fille qui se laisse marcher sur les pieds, loin de là, j'ai mon caractère et ma façon d'être, mais je ne supporte pas que l'on se pense supérieur sous prétexte d'avoir un sang potentiellement plus pur que celui d'en face. Pour vous dire, je suis une sang-pur. Ma mère vient des Etats-Unis, tandis que mon père d'Angleterre, j'ai grandie dans les rites de tradition puristes, mes deux sœurs ont eu droit au même traitement, et au final, sommes-nous plus importantes que le Gryffondor d'en face ? Ou de la Poufsouffle de derrière ? Non, absolument pas. Nous sommes des sorciers, tous autant que nous sommes, alors pourquoi hiérarchiser ce qui ne peut l'être ? Dur réalité qui sévit à Poudlard depuis maintenant quelques temps. Depuis l'avènement du Lord en somme. J'approuve que les sorciers soient supérieurs et dominent les moldus, et les nés-moldu, mais qu'on en vienne à favoriser un sang plutôt qu'un autre alors que les deux proviennent de la même racine... je ne sais pas, je trouve ça inutile et profondément abstrait. Pourquoi condamner ceux qui nous ressemblent ? Au fond, j'en viens même à me demander si les sangs-mêlé n'ont pas quelque chose en plus que les sangs-pur détestent ? Genre plus de globules blancs, ou rouges ? Un taux de plasma plus important ? Ou un gène différent ? Ouais, c'est complètement insensé.

Bref, aujourd'hui c'est le grand jour. On joue au Quidditch ! Un sport de folie, pour sorcier, et exclusivement pour personne assurée ! Le risque, est une réalité sur le terrain, se voir couper le souffle, casser le poignée, ou pire, c'est quelque chose que l'on prend en compte, on le sait, on le sent, et au fond c'est sûrement ça qu'on aime. Risquer notre vie pour oublier tout le reste. Je suis celle qui envoie les cognards sur les adversaires, vous savez tous que ce poste est quelque chose de compliqué, surtout pour une fille. Pourtant, chez Serdaigle, nous sommes deux à ce poste, deux filles. Victoria, et moi. J'aime bien cette fille. Elle est parfois un peu étrange, mais elle est plutôt cool. Il était environ l'heure de se préparer pour se rendre sur le terrain. J'étais toujours là, à étudier ma botanique comme une pure "intellos". Pas étonnant qu'on nous pense accrochés à nos bouquins après... mais au fond, il faut juste savoir que nous aimons étudier, et que nous prenons pas de retard sur nos devoirs, c'est tout. Une maison d'élèves impliqués, soucieux de réussir et ayant la volonté de persévérer pour atteindre leurs rêves... rien de bien extravagant là-dedans.

L'entrée dans les vestiaires c'était toujours quelque chose, les autres joueurs, tous un peu stressés, avec cette envie de jouer pour gagner, la hargne qui est propre à tout joueur investi dans ce sport. Le balai, c'était comme une troisième main pour nous... ça nous semblait si naturel de voler qu'au fond, on ne s'en passerait jamais. Je le savais bien qu'un jour j'allais devoir mettre tout ça de côté, mais pas tout de suite, c'était beaucoup trop tôt. Maleficus, un type relativement tête-à-claque et que je ne supporte pas depuis notre premier cours de première année, était notre capitaine. Qui dit Capitaine, dit discours à la con. Alors évidemment, il fallait qu'on écoute, sinon, on passait pour des hérétiques...

Enfin, l'entrée sur le stade. Ce sentiment indescriptible qui nous envahi lorsque les cris de la foule s'élance à notre entrée... il y avait là-dedans plus que de la magie, ou alors, c'était de la très belle magie. J'aurai bien aimé l'appeler "Magie des sentiments", mais soyons francs, c'est ridicule. Ainsi, lorsque l'arbitre siffla pour signaler le début du match, tout le monde se lança à l'assaut du ciel, et des balles qui y étaient projetées. Six pour le souaffle, quatre pour les deux cognards, et deux pour le fameux vif d'or, symbole même de la victoire. Pour ma part, batte à la main, ce fut en duo avec Swan que je me préparais à envoyer une nouvelle fois ma sentence sur une saloperie de serpent ! Et cette fois-ci, ce fut Cara... grognasse.