Le métier et la profession [PV : Kebinus]

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___ À pas rapide, mais léger, Sasha Néfer quitta le bureau des exécuteurs, direction Poudlard. Elle avait été assignée à une enquête sur la rébellion de deux élèves. Les dénommées Amber Céleste et Helen Icenight étaient les sujets de ses deux derniers dossiers qu’elle montait tranquillement, mais sûrement.
Ainsi donc, elle quittait son bureau après avoir fermé ses tiroirs à clés (Pas question qu’un autre exécuteur fourre son nez dans son enquête).
Sans cérémonie, l’égyptienne se rendit donc à l’école de sorcellerie. Déjà, elle avait interrogé quelques élèves et un membre du personnel. Mais c’était bien peu et Sasha jugeait les informations plutôt insuffisantes. Aucunes informations susceptibles de lui donner une piste quand à leur subite rébellion.

Aujourd’hui, Miss Néfer pensait interroger davantage les membres du personnel. Soit les enseignants, les concierges, le sous-directeur (peut-être) et même les elfs de maison. Toutes personnes qui pourraient avoir été en contact avec les deux anciennes élèves.
C’était assez dommage, d’ailleurs, qu’elles aient gâchés leur avenir si bêtement. Dans la résistance, elles n’avaient plus aucune chance de réussite…

Le ministère lui avait fournit une liste du personnel de l’école, ainsi qu’un maigre dossier s’y rattachant. Elle avait donc survolé rapidement le dossier de chaque enseignant, mais ils étaient plutôt maigres en information. Toutefois, elle avait put juger que l’école avait des professeurs compétents. Elle n’avait donc pas à faire avec des incompétents, ils avaient du vécu et de l’expérience. Certes, certain étaient jeunes. Mais elle ne douterait pas de leur talent en se fiant à l’âge…

Le premier enseignant qu’elle interrogerait aujourd’hui serait Kebinus Granace, le professeur de politique international. Décidément, en plus d’avoir de drôle de vêtement pour vêtir leurs élèves, ils avaient aussi de drôle de matière à enseigné.
Sasha n’avait pas fait ces études en Angleterre, mais en Égypte dans l’école de magie Chénèour. Une école assez bien vue en Égypte.
Bref, l’exécutrice grimpa donc au premier étage et se dirigea vers le bureau de professeur d’un pas toujours aussi rapide. Puis, une fois face à la porte, Néfer cogna :

- Professeur Granace ? Êtes-vous là ?

Date de naissance du joueur

Que pouvait-il bien se passer dans le collège. Bouse de dragon à la fin! Granace était professeur dans ce collège, il avait, comme tout les autres, le droit de savoir ce qui se mijoter au sein du collège où il enseignait! Les choses n'allaient pas bien au sein de l'école. Deux élèves avaient sois disant décidées d'arrêter les cours, aucuns professeurs n'en savaient pas plus là dessus, en tout cas, pas par les hauts dirigeants de Poudlard et du Ministère. Néanmoins, sur les journaux, on parlait de ces deux jeunes filles tout à fait autrement. Il paraitrait, qu'elle aient rejoint les rangs de la Résistance. La Résistance, mais quel avenir dans la Résistance ? Granace avait beau être neutre, il savait bel et bien qu'aucunes résistances étaient encore possible dans ce triste monde, enfin...

La journée était belle aujourd'hui. Les rayons du soleil s'étaient jetés sur les divers murs et fenêtres du grand château de Poudlard, et chacun avait pu débuter sa journée dans de merveilleuses conditions de météo. Pour cette matinée, Granace n'avait pas cours, et s'était autorisé une heure de sommeil en plus.
Il était donc 7heures, quand son chat vint le réveiller. Oui, car son chat, pouvait servir de réveil quelques fois. Après avoir pris une douche, et son petit déjeuner, il s'était attardé à quelques corrections de copies. C'est alors qu'on vint toquer à son bureau. Le Concierge, prévenait Granace qu'une personne du Ministère viendrait le voir dans la Matinée, et il lui parla aussi d'inscriptions étranges dans le couloir du septième étage. Il pris alors sa baguette magique, et suivit le Concierge en direction du septième étage.
Un tas de monde était rassemblé autour du mur, il y avait cependant une zone d'accès interdite par les élèves. Granace fit comme il pouvait pour se fofiller dans la foule. Arrivé, là, dans la zone "interdite", quelques professeurs étaient déjà arrivés. Il regarda alors le mur qui se tenait devant lui, une inscription "FERELMA", suivit d'une sois disant, déclaration de guerre était inscrite.
Granace retourna dans son bureau, en pensant alors que cette déclaration était totalement irrespectueuse envers les élèves, les professeurs, envers Poudlard. Si ils voulaient une révolte, qu'ils la fasse au Ministère, ici, ce n'est plus la place forte d'autre fois, ce n'est plus l'école de Dumbledore, ce n'est plus l'école d'Harry Potter, c'est une école de Magie, point finale, aucune révolte n'a sa place dans une école!

Arrivé dans son bureau, il retourna à sa correction de copies. C'était peut-être le chose la moins amusante de ce métier, mais, il faut ce qu'il faut, ce qui nous tue pas nous rends plus fort.

C'est alors qu'on toqua à la porte, suivit d'une voix féminine qui demandait si Granace était présent dans les lieux.

- Entrez, c'est ouvert répondit-il.

Il posa sa plume, et retira ses lunette, tout en restant derrière son bureau, en regardant la personne qui allait arrivée.

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- Entrez, c'est ouvert

Sans faire attendre plus longtemps, l'égyptienne poussa délicatement la porte. Par signe de respect. En effet, elle ne voulait pas brusquer l'enseignant dans sa tâche et risquer de le faire sursauter. (Bon nombre de sorciers savaient que les "dégâts" d'encre étaient chiant à nettoyer, et ce, même avec la magie). Ainsi donc, Sasha entra dans le bureau et fut alors exposé à une grande et splendide pièce.
Un vaste espace pour une seule personne, était-ce exagérer ? Après tout, Sasha partageait son petit bureau avec deux autres exécuteurs.
M'enfin, ce devait être un avantage de travailler dans cette prestigieuse école !
Malgré tout, Sasha observa le bureau quelques secondes avant de rapporter son regard vers le professeur assit derrière son bureau. Elle s'avança vers Kebinus et le salua d'un signe de tête (elle n'aimait pas les poignée de main). Ensuite, elle sortit de la poche de sa cape verte un calepin et une plume qui s'élevèrent dans les airs, prêts à retranscrire tout ce qu'ils entendraient.

- Bonjour professeur Granace, je m'appelle Sasha Néfer. je travail pour le ministère de la magie. Je suis une exécutrice et j'enquête sur les évènements de Pré-Au-Lard. Plus précisément, sur les deux élèves Amber Céleste et Helen Icenight.

L'égyptienne attendit quelques secondes avant de reprendre :

- J'aimerais vous posez quelques questions quant à leur passage à Poudlard. Je tiens aussi à préciser que votre collaboration sera très apprécier et que tout entrave à mon enquête sera considérer comme une attaque contre le ministère de la magie.

Bon, ça pourrait paraître brusque, mais s,était les directives du ministère. Et elle était directe dans son approche. Elle ne cherchait ni à sympathisé (pas qu'elle ne le veuille pas, mais elle était beaucoup plus préoccuper par son enquête que par les "bonnes manières") ni à se faire des ennemis non plus !
Sasha attendit de connaître sa réaction avant de lui poser des questions. Peut-être avait-il quelque chose à dire ? On ne sait jamais...

Date de naissance du joueur

Après avoir répondu à la visite d'une personne pour le moment inconnue, en lui priant d'entrer, Granace, se releva un peu sur sa chaise, tout en entendant son chat se diriger vers la porte d'entrée.
Peu de temps après avoir posé ses lunettes et sa plume, il leva la tête pour voir qui était la personne qui venait le voir.

C'était une jeune femme, assez jolie, mais les traits de son visage reflétaient sa fatigue impressionnante. Munie d'une baguette magique, ainsi que d'un bloc note, Granace avait cru avoir à faire à une journaliste. La première question qu'il se posa était, "pourquoi une journaliste ?", il n'avait rien fait d'extraordinaire, ou, était-ce, peut-être, ces inscriptions de déclaration de guerre inscrite un peu plus haut au septième étage.
La femme se présenta alors, tout en lui souhaitant un bon jour. Sasha Nefer, ce n'était en rien un prénom anglais, elle devait être donc étrangère. C'est qu'il y a beaucoup de monde qui sont intéressés par cette histoire d'inscription. Mais finalement, elle n'était pas du tout étrangère, enfin, plus maintenant, elle devait vivre en Angleterre, et travaillait pour le compte du Ministère de la Magie, en tant qu'exécutrice, et de plus, elle enquêtait non pas sur ces inscriptions provocantes et irrespectueuses, mais sur une affaire concernant deux jeunes filles. Ces deux jeunes filles étaient apparement élèves à Poudlard. Facile à dire, Granace était là depuis un bon moment, et il avait aussi déjà travailler il y a une dizaine d'années, il en avait vu des élèves.

- Bonjour Mademoiselle, heureux de faire votre connaissance, répondit-il. Exécutrice....je vois.

Puis les paroles qui suivèrent firent sourire Granace. Enfin, pas le fait que cette jeune employée du Ministère devait poser des questions au Professeur Granace, non, mais que sa collaboration, serait forte utile et appréciée, pensez-vous, et que ce passera t-il si il ne veut pas répondre aux questions? Le foutre à Azkaban, et bien, ensuite, allez trouver quelqu'un qui veuilles bien enseigner la Politique Internationale de Voldemort aux élèves de Poudlard.

- Excusez-moi Mademoiselle Nefer, mais vous me faites rire. Il va de sois, par la pure politesse que je vais répondre à vos questions, mais vu la matière que j'enseigne à Poudlard, il est préférable pour le Ministère et Le Seigneur des Ténèbres de me garder à Poudlard, enfin... Il serait plutôt plus acceptable de punir ceux qui s'apprêtent à saccager Poudlard que les professeurs qui se donnent tant de mal pour enseigner les meilleures vertus magiques!

Il se leva et fit signe à la jeune employée de prendre place dans un des deux canapés qui se faisaient face.

- Je vous en pris asseyez-vous.

Il regarda ensuite sur une petite table située près d'un des deux canapés.

- Je n'ai plus beaucoup de choses à vous proposer, j'espère que du vin d'elfe vous ira.

Sur ses mots, il fit donc remplir avec sa baguette magique, deux verres de vin d'Elfe, puis les fit servir à lui, et à l'employé. Elle s'était installée dans un des deux canapés, et Granace s'installa dans celui qui lui faisait face.

- Je ne pourrais répondre qu'aux questions concernant Helen Icenight, car la seconde, je ne connais même pas son nom, vous pourrez vérifier, elle a préféré sécher mes cours, je ne peux donc vous en dire plus à son sujet.

Puis, il regarda alors la jeune femme qui se tenait devant lui, et lui décrocha un sourire, pour lui faire comprendre qu'elle pouvait commencer ses questions.

Barry : Lord Voldemort est un nom tracé au tabou !

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Et voilà qu’un sourire niais se dessinait sur les lèvres du professeur. Avait-elle dit quelque chose de drôle ? S’était-elle – encore une fois – trompée dans l’une de ses expressions anglaises idiotes ? Non, elle n’en avait dit aucune. Alors ce sourire avait forcément été provoqué par les directives qu’elle lui avait dites. Les sourcils foncés de miss Néfer se froncèrent tandis que ses yeux sombres se plongeaient dans le regard pâle de l’enseignant. Ce n’était pas le moment de rire.

- Excusez-moi Mademoiselle Néfer, mais vous me faites rire. Il va de sois, par la pure politesse que je vais répondre à vos questions, mais vu la matière que j'enseigne à Poudlard, il est préférable pour le Ministère et Le Seigneur des Ténèbres de me garder à Poudlard, enfin... Il serait plutôt plus acceptable de punir ceux qui s'apprêtent à saccager Poudlard que les professeurs qui se donnent tant de mal pour enseigner les meilleures vertus magiques!
- Je suis d’accord avec vous professeur. Mais les traitres sont partout, mêmes dans le corps enseignant. Le ministère ne peut pas se permettre d’innocenter personne.

Elle soutint son regard quelque seconde de plus que le permettait la politesse, puis elle coupa son contact visuel pour regarder les deux canapés que le professeur Granace lui avait indiqué. Sans le regarder, elle alla prendre place sur le canapé, suivit de sa plume et de son calepin.
Pendant ce temps, le professeur de Politique Internationale lui proposa une boisson. Déjà étonné par sa politesse et, pour ne pas dire, chaleureuse accueil, Sasha ne refusa pas la boisson. Il lui servit sa boisson et prit place sur le canapé face à Néfer. Elle le remercia d’un sourire, mais ne toucha pas à sa boisson. Du moins, pas maintenant.

- Je ne pourrais répondre qu'aux questions concernant Helen Icenight, car la seconde, je ne connais même pas son nom, vous pourrez vérifier, elle a préféré sécher mes cours, je ne peux donc vous en dire plus à son sujet.

Satisfaite par sa réponse, l’agente lui adressa un petit sourire de politesse et commença :

- Alors, professeur Granace. Vous enseignez à Poudlard depuis longtemps j’imagine ? Vous avez donc vu et connu plusieurs élèves tous aussi prometteur les uns que les autres. Mais que pouvez-vous me dire sur Helen Icenight ? En quoi s’est-elle démarquée des autres élèves à son passage à Poudlard ? Que pensez-vous d’elle ?

À ses côtés, sa plume écrivait frénétiquement ce que Sasha avait demandé au professeur et s’arrêta, attendant la réponse du professeur.

Date de naissance du joueur

Faisant suites aux propos du professeur Granace, la jeune employée du Ministère de la Magie approuva les propos du vieil homme en en appuyant le fait que les traitres sont partout. En effet, chaque civilisation peut contenir des traitres.

- Mais Mademoiselle, que sont les traitres finalement ? Ce sont des êtres différents en fonction de la définition qu'on donne à la traitrise. Traitre au Ministère, soit, mais Traitre aux valeurs magique, sois disant défendues depuis des siècles dans notre monde ? Je suis plus d'avis pour la première réponse mais bon.

Granace avait proposé un verre de vin d'Elfe. Pour tout avouer, il en possédait très peu de ces bouteilles, super chères, et se rendit compte qu'il n'avait pas ouvert la bonne bouteille, enfin, tant pis...

- Alors, professeur Granace. Vous enseignez à Poudlard depuis longtemps j’imagine ? Vous avez donc vu et connu plusieurs élèves tous aussi prometteur les uns que les autres. Mais que pouvez-vous me dire sur Helen Icenight ? En quoi s’est-elle démarquée des autres élèves à son passage à Poudlard ? Que pensez-vous d’elle ?

- J'ai enseigné l'Histoire de la Magie durant vingt ans. Effectibement, j'ai croisé divers élèves, comme vous dites, tous aussi prometteurs les uns que les autres. Chacun d'entre-eux possédaient une petite lueur d'espoir pour pouvoir servir les meilleures valeurs de la Magie. Je suis parti de Poudlard peu de temps après la mort de Dumbledore. Me voilà de retour, pour le même cours quelque peu différent.

Il regarda alors profondément la personne qui se tenait devant lui. Ce qui allait suivre était quelque chose d'assez important pour le reste de la vie de Granace.

- Je n'ai vu Mademoiselle Icenight qu'à un seul de mes cours à Poudlard. Ce cour concernait le danger des Moldus. Mes cours ont pour but principal d'exploiter les réflexions des élèves. Donc, souvent, en fait, quand on débat sur quelque chose, il y a ceux qui sont d'accord, et ceux qui ne le sont pas, vous me suivez ?

Il but alors une gorgée de vin d'Elfe. Le soleil commençait un peu à se cacher, et de sombres nuages noir firent leurs apparitions dans le ciel. Il dut, avec sa baguette, allumé les bougies mises sur le lustre.

- Les Serviteurs du Seigneur des Ténèbres sont dans le coins. Donc, je disais, il y a souvent deux idées, deux groupes d'idées, ceux qui sont pour, ou ceux contre, ou ceux, peut-être, qui sont neutre. Mademoiselle Icenight, faisait partie de ceux qui était contre l'idée de mon cour. Le droit d'expression est présent, je n'ai donc pas pu la réprimander, et puis, de toute façon, à quoi ceci aurait pu servir? Ce n'est pas avec quelques Doloris que les idées changent, au contraire, elle deviennent encore plus fortes. Non, c'est son avis, je le respecte. Donc, la seule fois que j'ai eu affaire avec Mademoiselle Icenight, j'ai rencontré une personne qui, pouvait, en effet, être contre les idéologies du Seigneur des Ténèbres, oui, mais une personne très intelligentes.

Le fait qu'elle pensais que les Moldus n'étaient pas dangereux,n'était en rien un manque d'intelligence, non, pas du tout, et ça, Granace ne pouvait le nier, même auprès des membres du Ministère.

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- Mais Mademoiselle, que sont les traitres finalement ? Ce sont des êtres différents en fonction de la définition qu'on donne à la traitrise. Traitre au Ministère, soit, mais Traitre aux valeurs magique, sois disant défendues depuis des siècles dans notre monde ? Je suis plus d'avis pour la première réponse mais bon.

Sasha se réserva toute réponse, puisque de toute façon, elle n'était pas là pour débattre sur ce genre de question. Elle se contenta de lui adresser un rapide petit sourire.

- J'ai enseigné l'Histoire de la Magie durant vingt ans. Effectivement, j'ai croisé divers élèves, comme vous dites, tous aussi prometteurs les uns que les autres. Chacun d'entre-eux possédaient une petite lueur d'espoir pour pouvoir servir les meilleures valeurs de la Magie. Je suis parti de Poudlard peu de temps après la mort de Dumbledore. Me voilà de retour, pour le même cours quelque peu différent.

Le regard pâle du professeur percuta alors le regard sombre de l'égyptienne. Elle soutenu son regard sans ciller. Un mélange de provocation et de détermination illuminait les yeux de l'agent. S'était d'ailleurs sa seule faiblesse. Jamais elle ne montrait ses sentiments, mais ces yeux les reflétaient quelque fois, une faiblesse pour n'importe quel être humain. Bref, le lien visuel qu'avait le professeur et l'agent insinuait que, bientôt, la discussion deviendrait intéressante. Du moins, c'est ce qu'espérait miss Néfer.

- Je n'ai vu Mademoiselle Icenight qu'à un seul de mes cours à Poudlard. Ce cour concernait le danger des Moldus. Mes cours ont pour but principal d'exploiter les réflexions des élèves. Donc, souvent, en fait, quand on débat sur quelque chose, il y a ceux qui sont d'accord, et ceux qui ne le sont pas, vous me suivez ?

Elle hocha positivement la tête tandis que sa plume écrivait frénétiquement tout ce que lui disait l'enseignant. Tandis qu'il buvait quelques gorgés de son vin d'elfe (boisson que Sasha avalerait un peu plus tard), le ciel se couvrit subitement. Preuve que la nature était maîtresse de ses actes et que personne ne pouvait la posséder. En quelques minutes, le soleil pouvait disparaître sous les épais nuages noirs, lourd et pesant puisque l'orage menaçait. Kebinus alluma quelques bougies sur les lustres de son bureau et poursuivit :

- Les Serviteurs du Seigneur des Ténèbres sont dans le coins. Donc, je disais, il y a souvent deux idées, deux groupes d'idées, ceux qui sont pour, ou ceux contre, ou ceux, peut-être, qui sont neutre. Mademoiselle Icenight, faisait partie de ceux qui était contre l'idée de mon cour. Le droit d'expression est présent, je n'ai donc pas pu la réprimander, et puis, de toute façon, à quoi ceci aurait pu servir? Ce n'est pas avec quelques Doloris que les idées changent, au contraire, elles deviennent encore plus fortes. Non, c'est son avis, je le respecte. Donc, la seule fois que j'ai eu affaire avec Mademoiselle Icenight, j'ai rencontré une personne qui, pouvait, en effet, être contre les idéologies du Seigneur des Ténèbres, oui, mais une personne très intelligente.

Sasha laissa un petit sourire mesquin couvrir ses lèvres tandis qu'elle ajoutait :

- Si Helen icenight avait fait preuve d'intelligence, elle ne serait pas joint à la résistance, et ainsi, gâcher un avenir prometteur.

La plume transcrivait toujours ce qui s'échageait dans la pièce. Lorsque Sasha fut assurée qu'elle avait tout retranscrit jusqu'à maintenant, elle reprit :

- Pourrais-je savoir quel avait été le sujet de votre cour lorsque Helen Icenight s'est opposée ?

Date de naissance du joueur

La jeune femme écoutait comme elle pouvait les propos du professeur Granace. Bon, d'accord, il ne valait mieux pas qu'il lui raconte sa petite vie, mais il fallait la mettre dans le contexte. Granace, en avait vu des tonnes et des tonnes d'élèves, qui pouvaient se transformer du jour au lendemain. Elle ajouta alors, tout en laissant apparaitre un petit sourire mesquin :

- Si Helen Icenight avait fait preuve d'intelligence, elle ne serait pas joint à la résistance, et ainsi, gâcher un avenir prometteur.

Granace regarda alors la jeune femme qui se tenait devant elle, puis, il décrocha alors un nouveau sourire. Que pouvait donc signifier ce sourire sur les lèvres du vieux professeur ? Il ne se moquait en rien de la jeune employée du Ministère qui était venue le voir, non, ce sourire était là que les propos pouvaient amener à sourire.

- L'erreur est humaine, que ce soit du côté du bien, ou celui de la facilité mademoiselle. En tant que personne neutre, je ne peut me voiler la face encore bien longtemps. De plus en plus de personnes rejoingnent les rangs de la Résistance, et je vois aussi que la Résistance s'attaque à Poudlard, vous êtes au courant pour ce qu'il se passe au septième étage ?

Il ne voulais pas dire là que le Gouvernement menée officiellement par Drago Malfoy n'étais pas le meilleur de tous, néanmoins, si les idéologies de la Résistance intéressé alors certains, c'est que les idéologies du Seigneur des Ténèbres n'étaient pas dans la mentalité des personnes.

Elle demanda alors qu'elle était le sujet du cours sur lequel mademoiselle Icenight avait était contre les idées du sujet en question.

- Mon cours concerné le danger du Monde Moldu sur notre monde. Mademoiselle Icenight a éprouvé alors des arguments assez forts, montrant sa conviction.

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- L'erreur est humaine, que ce soit du côté du bien, ou celui de la facilité mademoiselle. En tant que personne neutre, je ne peut me voiler la face encore bien longtemps. De plus en plus de personnes rejoignent les rangs de la Résistance, et je vois aussi que la Résistance s'attaque à Poudlard, vous êtes au courant pour ce qu'il se passe au septième étage ?
- Que s'est-il passé au septième étage professeur Granace ? demanda alors Sasha, plus interessée.

Du coup, miss Néfer était beaucoup moins interessée par son enquête, ou du moins motivée. Quelque chose s'était produit au septième étage de l'école. Et, selon le professeur de Politique Internationale, il y avait là un acte de résistance, de terrorisme. Qui avait donc put attaquer Poudlard ? Et surtout, sous les yeux des mangemorts et des exécuteurs présent sur les lieux ?
Quel était l'attaque lancé cette fois-ci ? Plus sournoise probablement, car il n'y avait aucune bataille. Du moins, pour le moment.

- Mon cours concernait le danger du Monde Moldu sur notre monde. Mademoiselle Icenight a éprouvé alors des arguments assez forts, montrant sa conviction.

Sasha demanda à sa plume d'inscrire ses informations. Elle n'interromprait pas cette interrogatoire, mais une fois qu'elle serrait terminée, elle demanderait au professeur de l'accompagner au septième étage afin qu'elle puisse savoir ce qui se passait là haut.
Reprenant son professionnalisme, l'égyptienne poursuivit ses questions :

- Et quelle était sa conviction par rapport à cette question ? Quels étaient ses arguments professeur ?

Date de naissance du joueur

Granace, vieux professeur, venait de parler de ce qui s'était passé au septième étage. Un groupe de résistant, avait réussi à entrer dans le château, ou peut-être, étaient-ce des élèves, oui, peut-être, et avaient déclaré la guerre au personnel de Poudlard et élèves ayant comme convictions, les idéologies du Seigneur des Ténèbres.

- Le Ministère de la Magie n'est donc pas encore au courant de ce qu'il s'est passé ? Etrange.

Il posa alors son verre, et regarda la personne qui se tenait devant lui. Les choses qui se passaient à Poudlard étaient loins d'être normal, même si, elles n'avaient pas encore pris une ampleur gigantesque. Peut-être que le Ministère de la Magie suivait le point de vue de Granace, ne pas en prendre compte pour le moment, et réagir si ça prends de l'ampleur. Poudlard était pourtant bien protégé, une nouvelle bataille, non, c'est complétement fou. Poudlard avait était ruiné. Le feu de la Bataille s'était étendu dans les serres, le professeur de Botanique avait perdu la plupart des ses plantes, même les plus dangereuses, de nombreuses affaires avaient était détruites, des livres de la Bibliothèque perdus à jamais, trop de dégâts, Poudlard ne devais plus connaitre de Bataille.

-Au Septième étage, Mademoiselle Nefer, une bande de Résistants, qui se sont auto-nommés FERELMA, quelque chose dans le genre, on déclaré officiellement la guerre à Poudlard et ses occupants, enfin, tout ceux qui suivaient les convictions du Seigneur des Ténèbres. Voyez-vous, et je trouve ça particulièrement irrespectueux, enfin, si ils veulent s'amuser, qu'ils s'amusent, mais ce sera sans moi pour le moment.

Après cela, l'agent du Ministère fut alors intéressée par les argument d'Helen Icenight lors du cours sur les dangers du Monde Moldu au sein de la Sorcellerie.

- D'après ses arguments qui s'appuyaient sur des exemples, comme les diverses théories du savant Darwin, selon laquelle, nous sommes les semblables physiques des moldus, elle s'est surtout appuyée, je crois, sur des preuves scientifiques, mais a cité la malheureuse affaire de Salem, d'après ses arguments, elle était parfaitement convaincue, que, d'un point de vue scientifique, les moldus étant nos égaux, selon elle, ils ne représenteraient aucuns danger. Nous en sommes venu à la conclusion, que d'une manière générale, l'homme et un danger pour l'homme, quand ce dernier présente des caractéristiques, des modes de vies, inconnus, et donc différents.

Après cela, il pris une nouvelle gorgée de vin d'Elfe, tout en regardant attentivement la jeune femme qui se tenait devant lui.

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