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TANYA SHARPSON (ft. Dakota Blue Richards) » SURNOM(S) : Tan' » NÉ(E) LE : 07 Avril 1988 » LIEU DE NAISSANCE : Chemin de Traverse » ÂGE : 16 ans » ANNÉE À POUDLARD : Sixième année » ORIGINE(S) & NATIONALITÉ : Père écossais et mère anglaise » SANG CERTIFIÉ COMME : Pur, aucun commissaire ne pourrait se tromper à ce sujet » BAGUETTE : Taillée dans une branche de prunellier et dotée d’une plume d’hippogriffe, ma baguette fait partie de celles que l’on pourrait qualifier d’idéales pour les sortilèges permanents ou durables ainsi que défensifs. Rigide et extrêmement résistante, il n’y a aucune chance qu’elle se brise où se fissure en tombant au sol, même sur le sol des Cachots. Néanmoins, je n’ai jamais réellement vanté son poids. Assez lourde, elle vous pèse très vite dans la main et n’est donc pas l’idéale pour les sortilèges liés aux duels mais elle n’est pas inoffensive non plus. Superficiellement, le bois tend plus vers le brun que vers le beige. J'y ai très vite enroulé une bande de cuir noir grossier pour faciliter sa prise en main. Le reste du bois demeure banal, du simple bois verni et poli. » ANIMAL DE COMPAGNIE : Un vieux crapaud qui s'appelle Richard. » PATRONUS : Un petit oiseau originaire du Japon, un Uguisu. Il est réputé pour y annoncer le printemps en bravant la fin des neiges.

» FAMILLE : Mon père, Charles, est dragonnier. Enfin, j’aime beaucoup l’appeler comme ça en raison du culte qu’il voue aux dragons depuis qu’il est gosse. Il a voyagé en Roumanie avec mes grands parents pour étudier les Cornelongues à la fin de sa quatrième année. Lorsqu’il eût ses ASPIC, il ne perdit pas de temps pour devenir chercheur et éleveur de dragons. Bien sûr, le petit tour du monde qu’il avait entreprit de faire ne put s’effectuer vu la petite somme dont il bénéficiait… Il resta donc dans les vallées écossaises et galloises de son île originaire pour découvrir verts gallois communs et noirs des Hébrides auxquels il se passionna jusqu’à rencontrer ma mère. Lily Peters, c’est le nom de ma mère. Elle est née à Londres et a vécu toute sa vie sur le Chemin de Traverse. Ma famille maternelle n’a jamais baigné dans la richesse avec leur petite boutique de chaudrons. Située tout près de Gringotts, à l’extrême nord de la rue commerçante, on vit sur les trois étages du dessus, le magasin toujours en service n’étant qu’au rez-de-chaussée. Mes parents se rencontrèrent donc sur le Chemin, sur la terrasse d’un café. Mon père étant allé à Serpentard et ma mère à Gryffondor, ils n’auraient jamais imaginé lors de leurs études finir mariés et m’avoir sur les bras quelques années après !
Sinon, je suis fille unique comme maman et papa et vais apparemment le rester. Avoir un frère ou une sœur me ferait ni chaud ni froid je pense, juste un peu moi ns de place dans l’appart…
» AMITIÉ / RIVALITÉ : Je hais toutes ces personnes de la Brigade à Poudlard venant surveiller toutes tes actions quotidiennes de la sortie des cours à l’entrée dans la Grande Salle pour le dîner. Ces élèves qui, parfois, n’ont même pas encore passé leurs BUSE et se croient supérieurs à toi parce qu’ils sont les chiens chiens des profs ou du concierge. Dès que j’en vois un, j’ai qu’une envie c’est de lui envoyer mon poing dans le nez pour qu’on en parle plus.
Sinon en amis… Disons que certains élèves valent la peine qu’on s’intéresse à eux, pas comme ces botrucs de populos… Je considère que je suis amie avec tous ceux qui espèrent un certain changement utopique dans le système de l’école et pas le contraire.

» QUALITÉ(S) : Déterminée, téméraire, adroite et optimiste
» DÉFAUT(S) : Nerveuse, têtue, mégalomane, médisante
» RÉGIME DE TERREUR : Je n’ai pas peur de tout ça. Ils ne peuvent rien me faire, tuer une sang pur ferait scandale j’en suis certaine, alors qu’ils essayent, de toute façon je m’en fous absolument, tant que ce que je fais sert à quelque chose. Je me suis déjà fait collée à l’école, je me suis déjà fait punir, mais qu’importe, faut qu’ils comprennent. Moi j’ai rien à apprendre.
» NÉ MOLDU : Je ne supporte pas qu’on parle de ça. Toute la politique est basée sur eux. Moi je les vois comme n’importe qui, je suis comme eux, ils sont comme nous, nous sommes comme eux. Y’a aucun problème, notre sang reste de la même couleur.
» AMBITIONS : Avant tout ça, je voulais être auror. Je ne sais pas si je veux encore l’être, faudra voir dans l’avenir quand tout ça sera remit en place, et je compte bien faire en sorte que ça change… Là pour l’instant, j’essaie de faire en sorte de réussir mes ASPIC l’an prochain et pour le métier on verra ça plus tard.
» CARACTÈRE : Niveau caractère, je me suis convaincue de toujours terminer ce que j’ai à faire avant de passer à autre chose. Je suis pas le genre de fille qui entreprend quarante mille choses en même temps pour finir débordée avec des problèmes sur les bras. Même si j’en bave, je veux pas remettre au lendemain un règlement de compte, un devoir à terminer ou même une simple escale à l’autre bout du Château. C’est maman qui m’a appris ça… Elle avec la boutique, elle n’aime pas se faire surpassée par les problèmes. Sinon, j’essaie toujours de garder la tête haute sans vraiment me pavaner. Rester droite et optimiste en toutes circonstances, voir le futur d’un bon œil sans se morfondre et se plaindre. On dit qu’après la pluie vient les éclaircies… Alors ces rayons de Soleil vont un jour percer, c’est sûr. Après, malgré tout cela, je suis assez souvent stressée, voire angoissée par certaines situations mais comme je dis, je vais toujours de l’avant, jamais à reculons.

Flashback de Septembre 2004

Le temps passait trop lentement. Cette heure de cours semblait durer toute une après midi, et mes yeux commençaient à faiblir à force de les maintenir dans ceux de mon professeur. Le ton avec lequel il nous faisait la morale sur les moldus faisait bouillir mes nerfs. Mes poings serrés sur mon bureau, je n’allais sûrement pas lâcher ça quitte à aller le voir en fin d’heure pour lui faire part de mes idées. Tout le monde était penché sur sa copie, à prendre des notes. De mon côté, ma plume restait immobile dans ma main qui demeurait posée à côté d’une feuille de parchemin toujours vierge. Il n’allait tout de même pas espérer qu’une seule goutte d’encre allait combler ces lignes ! Dans sa longue robe noire, il allait et venait sur son estrade qui lui servait de piédestal puis dictait ces mots sans âme, sans aucun sens. Puis ce qui devait arriver arriva.
La sonnerie retentit et, après son accord, tous les élèves de la classe quittèrent la salle. Mais moi je restais là, à l’observer.

« Miss Sharpson, une remarque ? »
« J’en aurais plusieurs à vous faire, effectivement, Monsieur le professeur. »

Je le vis plisser légèrement ses yeux en se rasseyant à son bureau. Mon cœur s’accélérait mais je refusais de tenir compte de ce stress habituel. Jetant mon sac sur mon épaule, je me dirigeai vers la porte en secouant la tête. Je n’écoutai pas ses dernières paroles et continuai plutôt ma route vers le bout du couloir.

Les heures passèrent jusqu’au dîner. Assise à ma place habituelle, ma fourchette jouait avec les petits pois roulant dans mon assiette. Je n’avais pas d’appétit, rien de nouveau. Ainsi je quittai la table. En sortant dans le hall, une voix m’arrêta net.

« Mademoiselle, veuillez vous rasseoir le dîner n’est pas terminé. »
« Rien à battre »
« Comment ? »
« J’ai dit que je n’en avais rien à battre ok ? »

Un cri, un choc… plus rien.

Mes yeux se rouvrirent sur un noir complet. Il me fallut plusieurs minutes avant de réussir à apercevoir la lueur des torches qui encadraient la pièce. *Pas très original…* Je sentis une main saisir la racine de mes cheveux, faisant naître une grimace sur mon visage mais rien de plus. La baguette qui vint se poser sur ma gorge ne me fit ni chaud ni froid, j’en riais presque.

« Comment ça va depuis la dernière fois, professeur ? »
« C’est à vous qu’il faudra demander ça tout à l’heure. »

Un coup plutôt puissant me fit tomber au sol en un craquement sonore. Me relevant presque aussitôt , je m’apprêtai à sortir ma baguette de ma poche mais ce ne fut que lorsque je m’aperçus qu’elle était dans les mains de mon tortionnaire que je me mordis la joue. *Boh… Qu’importe, un sale quart et puis c’est fini*

Fin du flashback

Flashback de la semaine dernière

La pluie battait sur la vitre. Un froid glacial mordait au dehors, mais la neige n’arrivait toujours pas. Les premières années ne pourraient pas apprécier cette magie, dommage. Adossée contre un mur poussiéreux, mes pieds posés contre celui d’en face, mon regard, lui, était fixé sur l’extérieur. Deux ombres marchaient sous ce temps pourri… Elles semblaient parler, organiser quelque chose, qu’est-ce que j’en savais. A vrai dire, je me fichais très bien de ce qu’elles pouvaient se dire, ou plutôt, de ce qu’ils pouvaient se dire. Ces deux mangemorts seront morts très vite… Qu’ils meurent, qu’ils disparaissent dans quelques années ou demain, peu m’importait. Je voulais juste qu’ils payent pour tout ce qu’ils nous font.
Brisant la vitre d’un coup de talon, la pierre que je tenais dans ma main termina jetée dans le vide. Je ne su si elle tomba à leurs côtés ou sur les toits, mais dans les minutes qui suivirent, ils n’étaient plus là. Je laissai tomber ma tête en arrière, cogner contre ce mur grossier et sale.

« Qu’ils viennent s’ils m’ont vu, qu’ils viennent m’écouter. »

» SURNOM(S) : Phy » ÂGE : 15 ans » GARÇON OU FILLE ? : Fille, what are you expecting ? » COMMENT AS-TU CONNU POUDNOIR ? : Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine. Je sais plus ^^' » AVIS / SUGGESTIONS ? : Je suis pas fan du design actuel =3 Enfin, Nagini en bas me fait frissonner dès que je descends trop loin sur la page et puis, j'aime pas les couleurs, je verrai plus du noir-gris... Sinon il gère la fougère ♥ » PARRAINAGE? : Je le suis déjà par Tryan » MULTICOMPTE ? : OUI, en remplacement de Neville Londubat, autorisé par le Staff » CODES :