Devant la glace, Zephirin enfila son plus beau costume, accessoirisé d'une cravate aux couleurs de Dumstrang: Rouge sang, & noir. Il se tenait debout, les bras le long du corps, dans une pose majestueuse, il leva naturellement le menton tout en inclinant sa tête légèrement sur le côté. Son allure tant que sa posture faisait penser à un prince s’apprêtant à devenir roi ; mais qu'en était-il du royaume dont il allait hériter, de quoi était-il fait ? De belles pierres et d'une flore développée, ou de ruines et de feux incessants, réduisant en cendre tout sur son passage... Zephirin se saisit d'une épaisse fourrure de loup étalé sur son lit afin de s'emmitoufler dedans. Il tourna la tête à l'appel de son père situé au premier étage.
- Zephirin tu es prêt ?!
- Oui père. Dit-il une fois avoir descendu l'escalier.
- Alors allons-y.
Zeph ouvrit la porte, laissant place à un décor teinté entièrement de blanc, de multiples flocons de neiges tombaient de façon élégantes sur la demeure des Lazare situé en haut d'une colline, Dimitar emboita le pas à son fils, et ils entrèrent tout deux dans leurs voiture volante, symbole de leurs richesses étant-donné les convoitises qu'elle attisait. Le père de Zeph' mit le contact et ils s'envolèrent en direction de Dumstrang, le trajet allait être long, Zé s'occupait comme il le pouvait, en battant les cartes, en faisant des parties d'échec sorcier, en regardant le paysage, mais jamais il ne dormait, il ne fermait pas l’œil afin de ne pas laisser son père seul ; respect, un des mots fondateurs dans la famille.
Après deux heures & demi de trajet, ils arrivèrent enfin à Dumstrang, ils sortirent de la voiture et pénétrèrent ensemble dans le château, Dimitar avait passé beaucoup de temps ici, en tant qu'élève, mais aussi professeur. Les professeurs actuels lui devaient le respect, car la majorité d'entre eux l'avaient en professeur de magie noir. Dimitar aimait s'entendre dire, le fils dépassera le père en voyant les bulletins de notes de Zé, cela était entrain d'arriver. Les Lazare arrivèrent devant la porte du psychologue, mais seul Zephirin y était attendu. Il commençait à poser sa main sur la poignée quand son père le stoppa.
- Ne lui dit rien de compromettant. Invente. C'était pour ton bien.
- Secret familiale. Dit-il en montrant sa chevalière en or.
Son père hocha la tête, et tourna les talons pour aller rendre visite à quelques de ses anciens élèves. Zephirin ferma la porte du psychologue derrière lui. C'était un vielle homme frôlant la soixante-dizaine, son vaste crâne trônait fièrement une touffe de cheveux rangée vers la droite que des années d'application de solution collante avaient fini par dompter. Sa blanche chevelure d'un blanc comparable à celui que l'on retrouve au sommet des montagnes lui permettait d'accentuer le caractère sage de sa personne. Dans le vert de ses yeux se retrouvaient les différentes couleurs de sa paisible enfance à la campagne. Ce vert si pur semblable à l'émeraude qui jaillit de la mine, splendide joyaux sorti d'un milieu pourtant si sale. Zeph' ne pouvait s’empêcher de dévisager les personnes croisant son regard, il lisait en elles comme dans un livre ouvert.
- Bonjour Monsieur Lazare, vous pouvez vous assoir. En 6 ans de scolarité je ne vous ai jamais vu, je suis monsieur..
- Duchan. Le coupa t-il. C'est inscrit sur votre diplôme, situé derrière moi en haut de l'armoire.
- Aha, on m'avait prévenu. Bien.. Écoutez, maintenant que les présentations sont faite, commençons qu'en dites-vous.
- Allons-y.
- Je vais vous demandez juste une chose durant cette visite, racontez moi votre enfance. C'est la finalisation de votre procédure de changement d'établissement. Tous les formulaires sont remplient, mais le passage chez le psychologue est obligatoire. Je vous écoute.
Zephirin regardait autours de lui, prêtant attention au psychologue que quelques fois.
- Eh bien, j'ai grandis paisiblement avec mon père et ma mère. Mon enfance est des plus banales...
Flashback : Jours 7(ambiance)Ans 2000
BULGARIE
Passo Rolle (-25°)
Mont Paneveggio 2480m
La tempête battait son plein, Zephirin ne sentait plus ses mains, le froid brûlait son visage, ils peinaient à avancer, le niveau de neige lui arrivait jusqu'à la taille. Cela faisait maintenant une semaine que lui et son père étaient partit en expédition, ils avaient gravi des montagnes, traversé des forets, combattu des créatures, à 13 ans seulement, le jeune garçon avait accumulé beaucoup d’expérience & de talent. Son père faisait tout ce qui était en son pouvoir pour endurcir au maximum son fils, si la justice aurait été mise au courant de ses agissements, des entrainement intensif, des combats qu'il livrait contre son fils, la garde de Zeph lui aurait obligatoirement était enlevé pour maltraitance, même si ce n'était pas du tout le cas, les yeux de la justice ne voit jamais le bon côté des choses. Au fur et à mesure qu'il avançait, la tempête sévissait, les flocons s'était transformé en grêle, et les bourrasques de vent les envoyaient s'exploser contre eux, Zephirin tomba d'épuisement.
- Relève-toi ! Cria son père en le tirant par l'arrière de son col. Construisons un abri, la nuit va bientôt tomber!
En effet il avait belle & bien raison, la nuit était entrain de tomber, Dimitar enveloppa son fils dans une fourrure de Yéti tué le soir même, il n'avait pas eu le temps de convenablement nettoyer l’intérieur, mais cela ne faisait rien, la survie passait avant tout, le sang et les restes de chair du Yéti réchauffaient l’intérieur.
- Garde ça sur ton dos, je sais que c'est dégueulasse mais tu le garde. Fais des blocks de glace est superpose-les, la tempête durcira les parois dans la nuit, et nous seront à l'abri du vent.
Puis ils se mirent à construire un abri, les deux s'étaient interdit le droit d'usage à la magie jusqu'à leurs retour au logis, il devait se débrouiller comme de simple homme lorsqu'il ne s'agissait pas d'un combat contre une créature magique, ou un sorcier exilé, Dimitar espérait ne pas en croiser, il ne sentait pas son fils prêt. Zephirin essayer de faire le plus vite possible, seulement, la fourrure du Yeti était lourde, c'était certainement la chair qui pesait, il l'enleva donc de son dos pour être plus efficace. Dimitar le gifla en lui rappelant bien de ne ja-mais désobéir ses ordres. Zephirin rétorqua alors.
- Il faut faire vite ! Cette fourrure me ralentit !
Aussi entêté que son père, ils se remirent au travail, au bout de 45 minutes, les lèvres de Zeph devinrent bleu, l'abri était terminé, et le froid renforcerait les parois. L'ancien professeur de magie noir étala la fourrure au sol, et enroula son fils à l'intérieur. Il fit ensuite une entrave à la règle en faisant usage de sa magie pour générer un feu noir, chauffant le petit espace sans les empêcher de dormir. Dimitar commençait à s'allonger quand il entendit Zé lui chuchoter un conseil.
- Père, laissez le feu lumineux, ca fera fuir les loups.
- Certes, mais ça attirera les sorciers exilés. Et puis, les loups ne sont pas nos ennemies. Dit-il avec compassion.
- Les sorciers exilés ? S'interrogea le jeune talentueux.
- Les sorciers exilés sont des criminels condamné à airer seul dans ces montagnes jusqu’à leurs mort, interdit de vivre en communauté. Ils ne survivent jamais longtemps dans cet endroit. Tu sais comment s'appelle cette montagne ?
- Oui, la montagne Paneveggio.
- Avant de s'appelait comme ça elle portait un autre nom: криво планината, ce qui veut dire la montagne carnivore. Tu connais l'histoire de notre famille, tu sais que nous descendons de pur lycan, et que ce gène a été perdu par les générations.
- Oui.. Répondu Zé.
- Eh bien sache, que le gène n'est pas totalement perdu. Cette montagne est la notre. Dors, tu connaîtras la suite de l'histoire demain, promis.
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- Que dire d'autre, j'ai appris à lire avec mon père à l'âge de 4 ans, les études prouvent que l'âge moyen est de 5-6 ans. J'ai toujours eu un peu d'avance.
- Oui j'ai déjà étudié la question. Parler moi un peu de votre mère. Ajouta le psychologue.
- Ma mère m'a apprit beaucoup de chose, faire la cuisine; les bonnes manière et aussi..
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Jours 9; 4h30 du matin.
- Zephirin réveil toi. Partons maintenant pendant que la tempête s'est calmée.
La nuit avait été courte, mais au bout d'une semaine, il avait apprit à s'adapter et changer de rythme de vie. Le soleil n'était pas encore levé, le vent avait cessé de souffler et les doux flocons avaient reprit leurs droit sur la grêle. Zephirin respirait mal, ses poumons le brûlait, sa gorge aussi, il sortit une gourde et la remplit avec des poignets de neige, elle était pur, toute fraîchement tombé du ciel, une fois la gourde pleine, il la secoua et la rangea sur lui, sous la fourrure de yéti, avec la chaleur, la neige ne serait tarder à devenir liquide, pour accélérer les chose, il sortit sa baguette, c'est alors que son père lui tint la main d'un geste sec.
- As-tu oublié la consigne ? Pas de magie durant les stages d'initiation, sauf en cas extrême.
- Entendu. Ou allons-nous père ?
- Dans une grotte au nord. Détruit notre construction, nous risquerions d'être pisté par ces chiens errants.
- Les exilés ?
- Oui.
Zephirin s’exécuta, il fit disparaître toute trace visible de leur passage, la neige fit le reste. Ils commencèrent alors la marche vers le nord, la température extérieur c'était maintenu à -25°, c'était dur, très dur même, mais ils n’abandonnèrent pas, ils faisaient quelques haltes de temps en temps, lorsqu'au loin, Zé aperçu un trou noir, certainement une grotte, il le fit alors remarqué, et tout deux se dirigèrent vers celle-ci, peut être qu'une source d'eau ci trouvait, ou mieux, un nouveau Yéti à chasser, ce ne fut qu'une dizaine de minutes après qu'ils arrivèrent à l'entré de la grotte, ils s’engouffrèrent à l’intérieur à l'abris du vent, Ze sortit son poignard fait avec la côte du yéti, il avait la forme crochu d'une dent de basilic, coupant comme celles d'un dent de sabre. Il évolua dans la grotte, lorsqu'il entendit un grognement, il se tapit dans l'ombre derrière un rocher, et fit signe à son père qu'une bête se trouvait dans les profondeurs, aussi inconnue soit elle, ils allaient faire face. Dimitar se mit au milieu de l'allé, bras écarté, la bête chargea, et des lors qu'elle fut à hauteur du jeune Bulgare, il prit impulsion sur la pierre afin de planter le poignard dans la nuque de la bête se révélant être un ours, celui-ci s'écroula en faisant le bonheur des estomacs de nos deux sorcier. Zé sentit une douleur plus forte que la précédente aux extrémités de ses membres, ses mains avaient viré au bleu, en voyant ca, son père lui enleva les chaussures afin de voir l'état de ses pieds, ils étaient en effet pareil qu’au niveau supérieur. L'ancien professeur de magie noir sortit sa baguette.
- Je suppose que c'est un cas extrême. Dit Zephrin le sourire en coin.
- Première leçon du jour, je savais que cela arriverait, je vais te montrer que la magie noir n'est pas qu'un domaine d'attaque, elle peut aussi guérir. L'homme est homéotherme, donc sa température ne varie que faiblement. A 33°, il tombe en hypothermie; au delà de 42°, c'est la mort. Le cerveau contrôle le système nerveux central qui subit le froid plus qu'il ne s'y adapte. La régulation de la température se fait par dilatation ou constriction des vaisseaux sanguins. Quand la température chute, la circulation sanguine se concentre dans les organes nobles : cerveau, cœur, reins, poumons. Entre 37et 33°, le corps lutte, le rythme cardiaque s'accélère ainsi que la respiration. Le corps commence à frissonner et cherche des réserves qu'il distribue plus rapidement grâce à l'accélération de la circulation sanguine. Mais comme le sang s'accumule dans la partie centrale du corps; il abandonne les extrémités provoquant des lésions comme les engelures. Doigts et orteils bleuissent, les lèvres aussi dans ton cas; si les gelures superficielles sont réversibles, les profondes peuvent mener à l'amputation. Ceci s'explique par la diminution du diamètre des vaisseaux périphériques; si la température des tissus descend au dessous du point de congélation du plasma (un peu en dessous de 0°C) la formation de cristaux provoque une déshydratation entraînant plus ou moins vite la mort des cellules. Cette nécrose touche d'abord les extrémités avant de remonter. Alors, quel mot nous intéresse là-dedans ?
- Nécrose.
- Qui veut dire ?
- Mortification.
-Parfait.
- Bien, revenons à l'usage de la magie noir dans ce cas là, grâce à elle, je vais restaurer tes cellules nécrosé, ou morte au choix...
Dimitar posa sa baguette sur le torse de Zé, et des cellules noires sortirent de son corps. Le rythme cardiaque de Zé fut ralentit par quelque cellule morte qui venaient s’y installer, elle fut plus tard tué par les défenses naturelle. Petit à petit, les parties situé à chaque extrémité de chaque membre retrouvèrent leurs couleurs initiales, les cellules mortes avaient été remplacées, ou du moins, "ressuscitées". Zéphirin remit ses bottes, puis rejoignit son père qui se dirigeait déjà vers le fond de la grotte, Zé commençait à le suivre quand d'une voix ferme et autoritaire, son père lui ordonna de tirer l'ours hors de porté de vent. Il s'exécuta alors. Arrivé au fond, Dimitar sortit sa firestell afin de faire un feu, pendant ce temps, Zeph’ sortit sa dent de Yéti et ouvrit l'ours afin de commencer à le nettoyer, à ce moment, son père lui adressa la parole, il se contenta de tendre l'oreille et continua ainsi à vider la bête et couper sa chaire.
- Mon fils, parle moi un peu de nos croyances. As-tu retenu ?
- Oui, nous croyons au Valhalla, le paradis des guerriers barbare mort au champ de bataille la baguette à la main.
- Parle-moi des Walkyries.
- Les Walkyries sont des êtres surnaturels qui jouent des rôles divers : elles partagent la vie d'Odin dans le palais du Valhalla, où elles servent de la bière aux ombres des soldats morts ; elles participent aux combats en armure et décident de la victoire et de la défaite. « Walkyrie » signifie littéralement « Celle qui choisit qui succombera ». Deux Walkyries, Gunn et Rota, choisissent ceux qui doivent mourir, en compagnie de Skuld (la Nécessité), la plus Jeune des Nornes, l'une des trois Destinées. Les Walkyries entretiennent une relation privilégiée avec les guerriers « beserks » qui, inspirés par la fureur guerrière d'Odin, se défont de leur armure pour se livrer au combat avec une force surnaturelle. Les beserks ont toutes les chances de mourir au combat, et donc de gagner une place au Valhalla. Pour les Scandinaves, le Va-halla est une vaste salle resplendissante d'or, au toit recouvert de boucliers. Sa charpente est faite de lances et la grande salle, percée de cinq cent quarante portes. Chacune de ces portes est assez large pour laisser sortir de front huit cents guerriers, lorsqu'ils seront convoqués pour la bataille finale du Ragnarok.
- PARFAIT! Aha, tu es un vrai guerrier mon fils! J’aime entendre ces histoires sortir de ta bouche! A présent faisons cuir notre festin et repartons sans perdre de temps.
Le feu était prêt, l'ours était presque propre, mais mangeable, les poiles brûlèrent au feu créant une odeur nauséabonde, mais cela ne dérangea pas les deux barbares qui se firent un plaisir de littéralement démonter les cuisses de l'ours. Puis ils repartirent sur les vastes montée enneigé, ils arrivèrent face à un mur de glace, impossible de passer par les flancs, obligé d'escalader. Zé passa devant, et Dimitar passa après en prévisions d'une éventuelle chute de son fils. Ils se plaquaient contre les parois à chaque bourrasque afin de ne pas se faire emporter. Enfin, après 15 minutes, ils eurent l'occasion de régaler leurs visions d'une vue magnifique. Alors que Zé contemplait la vue, son père posa fièrement sa main sur l’épaule de son fils.
- Nous sommes arrivé. Retourne-toi.
Zephirin écouta Dimitar, et face à lui se dressé une grotte monumentale, intimidante, même effrayante. Mais sans crainte, il avança. Dimitar passa tout de même devant, cinq loup parfaitement alignés sortirent alors de la grotte, Zé les regardait alors que son père n'y faisait même pas attention, quelques minutes plus tard, Dimitar composa un code mural à l'aide de sa baguette, et les roches s'écartèrent, derrière s'y trouvait une salle ronde, avec un trône vide au bout, et des sièges faisant le tour de la salle occupées par des hommes imposant. Dimitar se posa sur le trône un instant, et Zé se positionna à sa droite.
- Bonsoir mes chers cousins. Je vous présente mon fils, Zéphirin, souvenez-vous de lui, car dans cinq ans, ce n’est plus à moi que vous devrez obéir mais à lui, il deviendra le male alpha. Notre élue, Igor ; est sortit de son sommeil, il est prêt à transformer vos fils. Et maintenant qu’il est réveillé, allez lui chercher de la viande fraiche.
Dimitar se leva du trône, et lui et Zéphirin entrèrent dans un labyrinthe par une porte situé derrière le grand siège en or, les couloirs étaient larges, les murs noirs étaient éclairés par des torches maintenu allumés par un enchantement, son père connaissait la carte par cœur, la marche était longue, très longue, mais le male alpha continuait, et lui suivait. Plus tard, Dimitar stoppa la marche au niveau d'une porte en métal et l'ouvrit à Zéphirin qui resta sans émotion devant ce spectacle, il lui fallut trente bonnes secondes avant que sa réaction soit d'être stupéfait. Il s’avança alors.
- Stop. S'écria Dimitar. Seul les dignes de la morsure s'approche.
- Comment devient-on digne ?!
- Tu l'es mon fils, tout ce qui ont le sang des Lazare coulant dans leurs veines le sont. Tu dois seulement attendre tes 18 ans, et ta sortie des écoles de sorcellerie.
- Entendu.
- Celui que tu vois ici… est mon frère ; Igor. Il à récupéré le gêne lycan que l’ont croyaient perdu, mais ce que tu vois là est sa forme normal. Il ne s'est jamais retransformé en homme depuis sa première pleine l'une, il est devenue l'élu, celui chargé de morde les notre, afin que les Lazare redeviennent un puissant clan. Voila la suite de l’histoire que je t’avais promise.
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- Voilà, j'ai maintenant 17 ans et grâce à elle je sais faire toutes les choses que je vous ai cité, et montrées. Puis-je disposé ?
- Oui vous pouvez.
- Au revoir et bonne journée.
A la sortie, son père était devant. Zeph ferma la porte.
- Bien mentit ? Dit-il en regardant Zé d'une mine humoristique
- Il à tout gobé, allons y.
Les deux quittèrent l'établissement, et repartirent pour un long trajet.