Retour de l'entrevue [RP Solo]

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Léon venait de quitter Little Hangleton, et la maison des Jedusor. Celà faisait bien des années que sont coeur s'était emballer de la sorte. Il se rappelait de chaque mouvement du Seigneur des Ténèbres, ils étaient à jamais gravés dans sa mémoire.

Il s'assit un instant dans le salon de son Château. Il fixait avec avidité le mur face à lui représentant le blason des Faust dont le nom était mort. Le sang de cette famille coulait encore dans ses veines, il en était l'héritier.

De toutes les branches de la magie noir, ses ancêtres avaient tous fait des recherches sur la mort. Par les horcruxes ou par les sortilèges mortels, chaque Faust avaient en son temps tenter de dépasser les limites de la vie. Léon n'avait jamais vraiment poursuivit ces travaux là. Il essayait sans y mettre tout son coeur, un peu comme on se débarasse d'un devoirs gênant en le bâclant.

Aujourd'hui cependant, il avait vu la mort droit dans les yeux. il savait qu'à la moindre erreur sa vie s'achèverait. Il avait miraculeusement survécu à cette entrevue. Mieux encore, il était devenu ce qu'il aurait du être il y a bien des années : un Mangemort.

Sans même s'en rendre compte, Léon passait sa main droite au dessu de la Marque. Gravée dans sa chair pour l'éterité, son allégeance ne ferait pas défaut à son maître. Mieux vaut être dans le camps des puissants lorsque la guerre éclatera.

Ce tatouage changeait entièrement sa vie, si bien qu'il s'était résolu à suivre les pas des ses ancêctres. Il allait créer un Horcruxe.

Son Grand père avait réssucité après la guerre 40-45, son crops fut brisé durant un bombardement. Il viva ensuite encore une vingtaine d'année avant d'être assassiné par Grindewald. Léon allait donc reprendre les notes de son modèle pour exécuter cet ultime acte de magie noire, celui qui le préserverait de la mort au moins une fois.

Il savait où était le papier. D'un geste de la baguette, il fit pivoter la bibliothèque et entra dans l'ancien bureau de son ancêtre. Le journal était là, écrit de la main du vieil homme à chacune de ses tentatives. Il y décrivait la douleur du procéder. Mais aussi comment bien canaliser l'âme pour la faire entrer dans l'objet choisi.

Léon ouvrit le tirroir du bureau de son grand-père et il en sortit une montre à gousset magique. Elle était frappées des armoiries des Faust, il la regarda un istant et la posa au sol.

De sa baguette magique, il dessina un triangle, il symbôlisait la vie, la mort et l'horcruxe. Ensuite il dut dessiner des cercles complexe remplits de symbôles et de runes afin de pouvoir fusionner la parcelle d'âme qu'il détacherait de son être.

Tout était prêt. Par pure manie, Léon effaça certains symbôles pour mieux les recopier, il voulait que tout soit parfait, bien qu'il n'eut j'amais commis d'erreur de sa vie. Il sortit de sa robe la baguette magique qu'il reçut de Barjow pour guider Jedusor à la réunion des mages noirs. La baguette fabriquées pour les rituels de magie noire, celle là même qui était gravées de runes de tout son long.

Brom leva sa baguette et la pointa vers son propre coeur. La bouche pâteuse, il dit la formule :

Extrerio Anima !

La douleur fut instantanée, il sentait en lui s'arracher une parcelle de sa vie, il revivait ses meurtres dans sa tête alors qu'il sentait en lui un sphère brûlante qui se matérialisait. Il pleurait de douleur, les première larmes qu'i versait depuis des décénies. Il tirait avec sa baguette magique la boule qui le tourmentait, elle avançait si lentement que les secondes devenaient des journées, les minutes des mois. Léon ne cèda pas pour autant, il tirait, avec toute la puissance qui résidait en lui. Et enfin, ce fut le soulagement...

Il vit sous se yeux le fruit de sa souffrance. Un sphère lumineuse de la taille d'une bille. Une partie de son âme qu'il venait de s'arracher. Il comprenait ce qu'écrivait son grand-père quand il parlait de mutilation. Il avait reseentit toute les souffrance de sa vie en un instant.

Léon dirigea de la baguette son âme vers la montre. Il formula :

Insertio Anima !

Les cercles dessinés devinrent lumineux alors que l'âme descendait vers la montre. Léon la suivait des yeux, toujours concentré sur sa tâche, sa baguette faisait descendre avec une lenteur calculé cette parcelle de son âme. Il finit par faire rentrer la petite sphère dans la montre qui émit un gémissement effroyable. Léon suivit un conseil de son grand père il pointat sa main avec sa baguette magique et il s'ouvrit la main d'un geste ferme. Il prit l'horcruxe, le souillant de son propre sang.

D'après le journal, ce simple geste permettait à l'âme de conserver l'entièreté des pouvoirs magiques du sorcier. Et à chaque fois que le mage noir qui avait fait l'horcruxe réalisait une prouesse magique et devenait ainsi plus puissant, il suffisait de remettre du sang pour faire évoluer les pouvoirs de l'âmes emprisonnées.

Léon soigna sa main en un murmure. puis il remit la montre dans le tirroir tout en renforçant les protections magiques de la pièce. Son Trésor était introuvable, sa vie était protégée.