Un dimanche soir à proximité du quartier de Soho, Edward était assis à une terrasse en compagnie de son chef et d’un jeune homme tout droit sortie de l’école de formation. Et oui, contrairement à la plus part de gens qui restait chez eux profitant des derniers moments de repos avant une nouvelle semaine de travail, le deux jeune exécuteur était là pour leur travail. Edward avait une petite idée du pourquoi du comment ils se trouvaient ici. Il connaissait le quartier de Soho de sa réputation. La voix de son supérieur, lui fit baisser les yeux faire cette photo. Bob Salteep, un homme avec un certain charme mais surement une bonne crapule. Ed se rappelais facilement des visages, il ferma un instant les yeux pour se rappeler des trait de la crapule. Puis il reporta son regard sur Orcus qui leur expliquait qui était Bob, ce qu’il faisait. Autant dire qu’il était une belle crapule, accumulant plein de délit.

Edward comme à son habitude ne parlait pas il se contentait d’hocher la tête et de retenir toute les infos qu’il lui semblait importante, il portait parfois un regard sur son collègue… L’homme que décrivait Orcus était répugnant, il semblait complément aveuglé par l’argent. Et le métis ne supportait pas ce genre de personnage, il fut enthousiaste d’aller rencontré Bob ! Bien sur comme tout malfrat, il avait des appuis bien placé et les preuves n’étaient pas suffisantes pour le faire arrêter en appliquant la loi. Le jeune homme apprendrait un peu ce qu’allait leur demander leurs chef parce qu’il avait bien compris que ce soir ça n’allais pas être une simple arrestation.

Edward ne put réprimander un surir quand Orcus leur demanda de ruser et de mentir sur leur identité, il était douer pour le faire et adorait le faire. Ce soir il fallait la jouer fin, s’il ne voulait pas avoir à faire au gérant du l’hôtel en plus du cher Bob. Quand Orcus leur dit de mètre Bob hors d’état de nuire défensivement, c'est-à-dire dans un langage plus direct le tuer. Il ne put s’empêcher de lancer un regard perplexe à son collègue. Avait-il bien attendus ? Apparemment oui ! IL se mit légèrement à stresser, mais il contrôlait très bien ses émotions et le stresse faisait monter l’adrénaline ce qui était bien pour un combat. Malgré tout il se posa quand même une question aurait-il le cran de le tuer ? Oui, il devait l’avoir ! Son cerveaux se mit à tourner, comment allait-il le tuer ? Il ne pouvait utiliser l’Avada. Il bu les dernières gorgées de son verre, un simple verre d’eau, pas d’alcool avant les missions

-Ce soir sera la dernière nuit de Bob… A toute l’heure, Monsieur le directeur.

Il attendit tranquillement que son collègue se lève et tout deux partirent en direction du quartier Soho. Ils furent bien vite là bas, Edward n’avait pas décroché un mot depuis qu’ils avaient quitté la table. Les deux jeune gens évoluait dans le quartier endormis. Ed tourna la tête faire son collègue et finis par briser le silence

-Alors pour cette première mission : stressé ? Excité ? Oui il en avait déjà vus qui était exciter à l’idée de tuer quelqu’un. Paniqué ? Ou tout va bien ?

Edward avait remarqué que son collègue qui se donnais un air colle et détendus semblait un peu anxieux quoi de plus normal pour une première mission, il continua marcher tranquillement tout en observant les alentours prés à bondir si jamais un danger ou un ennemis se présentait à eux. On ne sait jamais, dans ce monde la trahison était courante. Un petit sourire se dessina sur les lèvres a la réponse du jeune homme, alors qu’il allait répliquer il se tut bien vite apercevant quelque SDF, cherchant un endroit où dormir ou même qui dormait. Edward n’aimait pas se spectacle désolant qui s’offrait à eux. Tant de gens dehors, sans abris alors que d’autre se prélassait doucement dans leur maison a quelque mètre de là. Une foi qu’il eu passé les SDF, il prit la parole tout en baissant la voix

-Le stresse fais monter l’adrénaline et ce n’est pas plus mal lors d’un combats. Mais contrôlait la plus possible quand on parlera au gérant…. On ne la ratera pas… S’il n’est pas venus, je pense c’est qu’il veut qu’on fasse nos preuves, on est tout jeunes et débutant… Non pas la première mission arrestation mais la première mission, ou je dois abattre quelqu’un. Et je suis aussi un peu stresser

Il se tut laissant son regard sombre parcourir les habitations toutes aussi lugubres que le reste. Alors qu’il analyser les paroles du jeune homme le fit réagir…Il déposa une main sur l’épaule du jeune homme

-Il a beau être pourris, mettre le feu n’arrangerais rien, ça pourrais même empire les choses. On pourrait même tuer des gens qui n’ont rien a se reprocher. Même si on a tout quelque chose à se rapprocher… Moi c’est Edward Storm

Et oui, il arrivait à parler de mort puis deux seconde après à sourire et a se présenter… Ils arrivèrent devant l’hôtel d’apparence miteuse, Edward se tut et ferma les yeux un instant pour ne rien laisser transparaitre, aucune émotions. Rien son visage semblait figer et froid. Il lâcha l’épaule de es on coéquipier et le suivit dans l’hôtel. L’hôtel était tous aussi miteux à intérieur qu’à l’extérieur, il y avait quelque table installé ou était attabler : une, deux, trois personnes. Qui ne semblait plus être très frai, ce qui voulait dire quand cas de problème, elles ne poseraient aucun soucis. Un homme était accoudé à ce qu’on pouvait appeler une sorte de bar qui devait aussi faire réception. A l’entrée deux jeune gens il leva à peine les yeux. Un escalier en bois qui semblait vouloir s’écrouler à tout moment devait mener au chambre ….Le jeune exécuteur se dirigea d’un pas assurée vers l’homme et se planta devant, il lança un regard à son collègue… L’homme semblait peu réceptif et coopératif avant bon, rusons mes amis, rusons !!

-Hum…hum… le gérant leva les yeux… Mon ami et moi aimerions nous entretenir avec l'encyclopédie… il se pencha un peu plus vers l’homme… Pour faire affaire… Est possible ?

Ricardo Pederiva était un homme d'une cinquantaine d'années, les cheveux encore quasiment noirs de jais, portant un bouc saillant, au teint brun et aux yeux d'un vert grisâtre troublant. Les traits de son visage étaient brutes et reflétaient sa personnalité. Il portait un marcel blanc tâché avec un jeans noir délavé, qui cachaient tant bien que mal ses quelques kilos en trop. Il était baraqué, grand, et on pouvait lui deviner un corps d'athlète dans ses plus jeunes années. Ses larges épaules tombaient et donnaient à sa carrure l'imposante impression d'être celle de deux hommes.

Ce matin-là, Ricardo s'était levé de bonne humeur. Il avait géré les affaires habituelles, accueil des clients, le bar et... d'autres qui demandaient plus ou moins de discrétion. La journée était passée rapidement, il n'avait pas eu le temps de s'ennuyer. Si bien qu'à présent, il était au bar et attendait que d'autres clients viennent se rajouter aux quelques aventureux personnages qui buvaient un verre ou mangeaient une omelette. Il faisait un peu de ménage derrière son comptoir, je veux dire, qu'il remettait les verres sales à l'endroit des verres propres juste après leur avoir donné un coup de serviette, de même pour les assiettes et autres ustensiles qu'il refilait fréquemment aux clients.

Deux gamins entrèrent. Un asiatique et un européen. Ricardo leur jeta un bref regard, mais ne manqua pas de s'interroger sur leur présence en ce lieu. Autant auraient-ils été de simples touristes, autant ils ne se seraient pas arrêtés dans cet hôtel pour la nuit... à moins de pas avoir de frique. Non, ils ne ressemblaient pas à des fauchés. Il posa le dernier verre sur l'étagère derrière lui et s'accouda à son comptoir.

Les deux mômes s'approchèrent de lui et l'asiatique lui adressa la parole. Il toussa. Ricardo leva la tête et fit mine de l'écouter. Il connaissait Bob...

"On fait pas dans les livres ici, décréta-t-il d'un ton brusque. Puis je fais pas dans l'hébergement gratuit non plus... Alors vous allez commander deux bières et deux plats du jour, vous asseoir au comptoir, là bas... Et on verra plus tard pour le reste... Et surtout, on paye maintenant."

D'un bref geste de la main il montra une petite affiche à l'avant du comptoir où se trouvait les prix.

Il ne craignait rien. À l'étage, il y avait des gars, de bons gaillards qui savaient se battre. Si la situation tournait mal, il n'aurait qu'à les prévenir d'un cri, d'une explosion de plafond...

Sans même attendre de réponse, il se retourna, pris trois verres, les remplit d'une bière tiède et légèrement douteuse. Puis il sortit deux assiettes préparées et les revigora d'un sort discret : sa baguette dans la manche, personne ne pouvait voir. Ni vu, ni connu, comme si c'était frais.

C'était une première épreuve. À savoir, comment les gars allaient réagir. Dans tous les cas, il n'allait rien laisser paraître et aller leur demander des explications. On ne parlait pas à Saleteep juste parce qu'on en avait décidé ainsi... Il fallait passer par lui, et le convaincre qu'on était bien ce qu'on disait être.

Il plaça les assiettes devant eux, ainsi que les bières, et bu une gorgée de la sienne.

L'examen commençait.

"Deux questions : Vous êtes qui ? Quelle affaire ?"

(désoler c'est pas genial)

Edward regarda le gérant d’un air agacé… Seulement cinq minute et l’homme lui tapait déjà sur le nerf… Bien sur qu’il s’était douter que l’homme n’allais pas leur donner le numéro comme ça, mais là… Franchement il n’avait aucune envie de donner de l’argent car on se demandait bien où il pouvait partis tout cet argent… Car s’il faisait ça a chaque client de Bob, les plus abrutit payait et il devait surement se faire un maximum d’argent. Il regarda écriteaux d’un air vague… Il jeta un regard a son collègue, espérant qu’il ne réagisse pas sur un cou de tête car les premières missions était toujours les plus dur… Pas de scandale avait Orcus donc Edward resta calme quand il vit l’étrange boisson verser dans trois verres… Non il n’avait aucune confiance en ce sorcier et ne savait pas ce qu’il avait put verser dedans en plus de la boisson … Ed avait des yeux persan, malheureusement pour le gérant et il remarqua le sort lancer sur les assiettes… Enfin il remarqua que le contenu semblais plus frais qu’il y ‘avait quelque seconde e comme il n’était s abrutis, il en déduis que le gérant avait lancé un sort.

Il s’installer tranquillement à la table, essayant de réfléchir comment ils allaient procéder après avoir passé l’étape du gérant… il laissa le bleu parler… Il se débrouillait très bien pour le moment, bien qu’il pourrait y aller un peu plus doucement… En même temps l’homme en face était exécrable et Ed avait aussi tu mal à garder son sans froid devant un tel homme mais comme à son habitude il garda un visage froid qui ne reflétait en rien ce qui se passait à l’intérieur… Mais il déposa tout de même sa main sur le bras de son collègue pour l’incité a se calmer un peu…il repoussa l’assiette

-Je crois que mon ami a tout dit… Ah non, premièrement vous avez surement jeté un sort a la nourriture car elle n’était pas comme ça il y a quelque minute...

Il se leva et regard l’homme droit dans les yeux, non il n’avait pas peur de lui…

-Alors maintenant ouvre grand tes oreille et écoute… Ce qu’on veut lui demander ne te regarde pas et encore moins qui ont est… Et je pense que comme nous tu pas envie de passer la nuit à disserter sur le pourquoi du comment on est là… Donc emmener nous à l’encyclopédie

Il vint se replacer à côté de son collègue juste au cas où…