Dans ma tête, c'est le désordre. 1453055880-header-fullhd
POUDNOIR
Cher (e) Sorcier (e),
Tu viens de débarquer dans un monde de la Magie subissant la dictature cruelle et sanglante de Lord Voldemort !
Un Monde où tout n'est que pouvoir, les faibles ne survivent pas ou suivent péniblement les forts.

Poudnoir est un forum qui se veut le plus réaliste possible ainsi la violence des combats et l'atmosphère de cette dictature est retransmise le mieux possible.
Auras tu le courage de nous rejoindre ?
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Dans ma tête, c'est le désordre.

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MessageSujet: Dans ma tête, c'est le désordre. Dans ma tête, c'est le désordre. EmptyLun 19 Avr - 19:08


    Dans ma tête
    c'est
    le désordre




    Fan Fic de COFFEE

    Oyé, oyé !
    Et bienvenue dans un monde encore inconnu pour plusieurs. Un monde où je puisse toute mon imagination. C'est endroit est incompris et tr`s sombre. Et pourtant, il anime une jeune fille enjouée qui respire la joie de vivre.
    Ce n'est un secret pour personne, j'adoreeeeee l'écriture. Sinon, je ne serais pas ici. C'est une passion que ma meilleure amie (que dieu me la garde ❤ ) m'a fait connaître. Jamais je n'aurais cru avoir pareille pouvoir, pareille talent. On m,a conseillé de m'orienter dans ce domaine ; j'ai refusé. Mais cela ne m'empêchera pas de publier des romans (dont un en construction).
    J'ai décidé de vous les exposé. De vous les montrer.
    Ce sont, pour certain, de petite capsules ou histoires. Alors que pour d'autre, il s'agit d'une idée résumé pour un roman...
    Je vous laisse les découvrir...
    N'hésiter pas à donner votre avis...

    COFFEE


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MessageSujet: Re: Dans ma tête, c'est le désordre. Dans ma tête, c'est le désordre. EmptyLun 19 Avr - 19:08

_« Le Petit Chaperon Rouge. _


    Prologue :

    Au temps de notre enfance, nous nous sommes tous fait raconter cette histoire. Et nous avons tous apprit à craindre le grand méchant loup, par peur de connaître le même sort que le petit chaperon rouge.
    Et si cette histoire se concrétisait en 2010 ?
    Et si le loup n’était pas la bête que l’on imaginait ?
    Et si j’étais le petit chaperon rouge ?

    * * *



    - Aurore

    Eh merde, maman m’appelait. Je devais, encore une fois, m’être levée en retard…

    - Aurore, Debout.

    J’ai grogné. Je n’avais pas envie de me lever. D’autant plus qu’un samedi, on dort normalement. Mais pas pour ma mère. Non pour ma mère la fin de semaine était faite pour les corvées ménagères. J’aimerais bien pouvoir faire comme tous les autres adolescentes de mon âge et dormir jusqu’à midi et aller magasiner le reste de la journée.

    Malgré ce profond dégout qui m’habitait, je me suis redressée, les cheveux en bataille au sommet de mon crâne. J’ai tiré les bras vers l’arrière tout en baillant, la meilleure façon de commencer une journée.
    Par la suite, j’ai déposé mes pieds sur le parquet froid de ma chambre. J’ai frissonné et ma peau s’est entièrement faite recouverte par la chaire de poule. Je me suis ensuite dirigée d’un pas lourd et endormit vers la fenêtre de ma chambre. J’ai tiré les rideaux et j’ai laissé la clarté inondé ma chambre. Immédiatement, un sourire s’est dessiné sur mon visage. Je ne pouvais pas faire autrement ; il fessait si beau dehors que ma mauvaise humeur s’était estompée sur-le-champ.
    J’ai deviné que ce ne devait pas être trop chaud dehors, assez normal pour un mois d’Avril, et que la température devait être douce. J’ai donc opté pour un jeans et un chandail blanc. J’ai ensuite couvert mes bras d’une veste rouge pour ne pas trop souffrir du froid (Oui j’étais très frileuse).
    Sans faire attendre ma mère plus longtemps (et ses fameuses chocolatines fondantes dans la bouche) je suis descendue au salon. Mon père était réveillé et il était plongé dans la lecture de son journal. À mon arrivé, il a levé les yeux et je lui ai adressé un sourire. Il a haussé les sourcils et s’est replongé dans la lecture de son journal (s’était notre manière de nous dire bonjour). D’un pas enjoué, je me suis ensuite dirigée vers la cuisine où ma mère m’attendait. Et comme chaque samedi matin, elle préparait ses fameuses chocolatines. Pas du genre que celles que vous trouverez au super marché. Non, les siennes fondaient dans la bouche et le chocolat n’avait jamais eu un aussi bon goût que le sien (un secret de fabrication qu’elle gardait jalousement d’ailleurs).


    - Enfin debout espèce de paresseuse, m’a-t-elle dit pour me saluer.

    Il n’y avait pas une once de méchanceté dans le ton qu’elle avait employé. Et le sourire qu’elle m’a adressé était contagieux puisque je lui ai sourit en retour.
    Ma mère ressemblait beaucoup aux mères de famille des années cinquante. Elle avait des cheveux longs et foncés qu’elle coiffait toujours en une espèce de chignon monté sur sa tête. Sa taille était presque toujours recouverte d’un tablier (exception faite lors de nos sorties en ville). Elle passait la plus grande partie de son temps dans la cuisine ou à accomplir les tâches ménagères de la maison. Il n’y avait pas meilleure mère à mes yeux ; malgré sa désagréable manie de perfectionniste.
    Elle m’a apporté une assiette fraichement préparée d’œuf brouillé, de jambon grillé et de patate rôtie. Elle n’a pas non plus oublié de m’apporter deux chocolatines fraichement sortie du four.

    Elle m’a embrassé le front avant de caresser mes longs cheveux noirs en s’adressant de nouveau à moi tandis que j’avalais gloutonnement une tranche de jambon :


    - J’ai un service à te demander ma belle Aurore.

    … Je le savais…

    - Oui ? ai-je répondu entre deux bouchés
    - Il faudrait que tu ailles rendre visite à grand-mère aujourd’hui.

    Je me suis brusquement retournée vers elle. Grand-mère ? Je ne l’avais pas vu depuis Noël je crois…

    - Et pourquoi ?
    - Ta grand-mère m’a appelé ce matin et elle aimerait bien te voir. Elle dit avoir une surprise pour toi.
    - Une surprise ?
    - Oui
    - Elle va peut-être enfin me donner mon cadeau de noël.
    - Aurore ! s’est exclamé ma mère, à demi amusée, à demi choquée.

    Je n’ai rien ajouté et je me suis retournée face à mon plat. Bah au moins, cette petite sortie pourrait me dégourdir les jambes, mais surtout, me privé de ménage. Qu’est-ce que j’étais déçue !
    Je ne me suis pas attardée. Car durant ma dégustation, ma mère m’a fait un plan élaboré de sa journée. Elle prévoyait nettoyer la sale de bain en avant-midi. Une tâche qu’elle disait très difficile puisqu’elle avait mal au dos. En après-midi, en même temps qu’elle s’occuperait de préparé un délicieux bœuf aux carottes, maman s’occuperait de nettoyer le salon et la cuisine. Des contacts de papa venaient souper à la maison ce soir, pas question qu’ils voient la maison dans un état de mal propreté !

    Vers onze heures, j’étais déjà partie. Ma grand-mère vivait à quelques rues de chez moi. S’était tout près (mais jamais elle n’était venue nous voir ou avait rendu nos appels) et je connaissais le chemin presque par cœur. J’y étais allez très souvent quand j’étais jeune. Mais depuis la mort de grand-père, ma grand-mère ne sortait plus de chez elle. Mon grand-père était décédé un peu avant noël (je vous laisse imaginer le genre de vacances des temps de fête que j’ai passé). Le cancer avait eu raison de lui. Je n’étais presque pas allez le voir à l’hôpital puisque ma mère ne voulait pas. Elle disait qu’il fessait trop pitié à voir. Mais surtout, qu’il n’aurait pas conscience de notre présence. Je n’avais cherché à en savoir plus.
    J’ai contente de sentir le vent frais sur mon visage, ça me fessait du bien. La caresse du soleil sur ma peau blanche baignait mon cœur d’une joie de vivre incomparable. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé. Vous savez, ce genre de sensation qui vous donne envie de sourire et d’hurler votre joie ? D’avoir toujours envie de sourire, de danser ou de chanter. De saluer tous vous voisins ou d’aller acheter des fleurs à votre mère…
    J’étais animée de cette passion et je crois que ça se voyait. Tout le monde sur ma route m’avait adressé un sourire radieux. J’ai pensé à saluer M. Turcotte (un voisin du genre solitaire, soupçonné de maladies mentales.) Il m’a salué de la main :


    - Bonjour jolie petit chaperon rouge.

    J’ai rigolé tout en continuant ma route. C’est vrai que j’avais des airs de ressemblance avec le petit chaperon rouge, surtout à cause de ma veste rouge flamboyante qui créait un contraste saisissant avec la couleur de mes cheveux et mon teint pâle. Aurore le petit chaperon rouge. C’était comme mélangé l’histoire d’Aurore l’enfant martyr à celle qu’on m’avait si souvent raconter quand j’étais jeune. Ne manquait plus que le loup !

    Je suis arrivée chez ma grand-mère et je me suis arrêtée brusquement. La maison de ma grand-mère n’était pas un endroit angoissant en général. Pourtant, il y avait quelque chose d’inquiétant. L’atmosphère oppressante qui s’en dégageait semblait peser sur mes épaules comme un ciel de plomb quand l’orage menace. De plus, je me sentais épiée. Les yeux qui m’observaient étaient, certes invisibles, mais j’étais certaine d’être surveillée. Quelqu’un posait sur moi un regard cruel et malveillant chassant ma bonne humeur.
    Je ne sais pas pourquoi j’avais ce sentiment. La maison semblait être en parfaite état ; je n’avais rien remarqué de suspect.
    À pas incertains, je me suis dirigée vers la porte de la maison. La porte n’était pas barrée ; ma grand-mère ne le verrouillait jamais, ma mère m’avait prévenu de ne pas m’inquiétée. J’ai entre-ouvert la porte et j’ai annoncé mon arrivée :


    - Grand-maman… je suis là !

    Elle ne m’a pas répondu. Bon, elle était veille et sûrement sourde d’oreille. J’ai déposé mon petit sac par terre et j’ai refermé la porte derrière moi. Je me suis aventurée dans le long corridor de la maison. Les murs étaient recouverts d’un vieux papier peint jaunis, décoré de fleur (des tournesols je crois). La maison était sombre car les rideaux du salon (salle ou la lumière était la plus dominante) étaient fermés. Un escalier grinçant sur ma gauche, face à la porte d’entrée donnant une splendeur d’ancien film western à la vielle maison de ma grand-mère. Au fond du corridor, sur la fauche, on arrivait à la cuisine. J’ai deviné qu’à cette heure-ci (1 :23 PM), ma grand-mère devait être à la cuisine, à laver sa vaisselle (puisqu’elle ne devait pas être une fan de l’électronique et de la technologie).

    Mais le spectacle que j’ai découvert à la cuisine était pire qu’horrible. J’étais devant la pire scène d’horreur jamais vu au cinéma. Mon cœur en était chaviré (et dieu seul sait que je ne suis une petite nature). J’ai plaqué mes mains sur ma bouche pour m’empêcher, d’abord de vomir, mais aussi d’hurler.
    Devant moi, ma grand-mère était étendue par terre dans une position difficile à décrite (Puisqu’elle est physiquement impossible à réussir sans souffrir) et baignait dans une marre de sang, son sang. J’ai dû me reculer pour prendre appuie contre un mûr parce que mes jambes étaient devenues aussi molles que des nouilles.
    La gorge de ma grand-mère avait été tranchée. Et ses os avaient dû être brisés vu la position dans laquelle elle reposait. Ma respiration était devenue saccadée. J’étais impuissante face à cette mort violente. Une rage grimpa en moi comme la lave au cœur d’un volcan en éruption. J’ai alors hurlé. Hurler, crier de toutes mes forces. J’étais surprise de savoir que je possédais une telle puissance vocale. L’Alaska m’avait probablement entendue. Et je continuais. Jusqu’à ce que mes poumons se soient vidés.

    C’est alors que la porte d’entrée c.est ouverte. J’ai alors cessé d’hurler. Quelqu’un avait finit par entendre mes cries de détresse. J’ai soulagé…
    Mais l’aide se fessait attendre et lorsque j’ai aperçu M. Turcotte dans le cadre de la porte, un couteau à la main, un sourire à demi-amusé, à demi-dérangé dessiné sur ses lèvres, j’ai compris…


    - Bonjour jolie petit chaperon rouge...


Dernière édition par Loréna Shreveport le Lun 19 Avr - 19:19, édité 1 fois
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