1998, le Parc de Poudlard:

Soir? Oui, il était soir. Il ne faisait pas trés beau d'ailleurs, sans doute à cause des mauvaises ondes qui envahissait le domaine...Mais il n'y changerait rien. Depuis des années et des années, il avait rêvé de venir enseigner ici, à Poudlard, l'école dans laquelle il avait sût faire ses preuves, l'école qui l'avait vu faire ses idioties, et l'école qui pour la toute premiére fois l'avait vut aimer quelqu'un. Jusqu'à la fin de ses études, il avait espéré encore et encore que le poste de professeur de Botanique ne serait jamais pris. Et pourtant, il l'a été. Mais quand les vingt-neuf ans du jeune homme fut vint, il put enfin aller postuler pour le poste. Et le voilà ce soir, assis sur l'herbe séche du Parc de Poudlard, les pieds trempant à moitié dans l'eau, le devoir de professeur reposant sur ses larges épaules.

Personne n'aurait eut idée d'aller lui parler, car il semblait en pleine réfléxion, un sorte de tête à tête avec lui même. Un air d'impuissance était apparu sur son visage, et dans ses yeux ténébreux une expression de mépris danser dans ses iris foncés. Depuis qu'il avait quitté Poudlard, il croyait que tout s'y deroulait bien, que les Mangemorts laissaient des gens biens s'occuper de l'école, que tout serait intacts, mais bien entendu, c'était encore une utopie...Les Serpentard régnaient dans le chatêau, et les Gryffondor se voyaient contraint de les respecter, de les aduler presque. Ce spectacle avait failli le faire vomir. L'ancienne haine entre les Gryffondor et les Serpentard semblait ne plus exister. Mais elle était bien présente, seulement, personne n'osait la prôner haut et fort, par peur, sans aucun doute.

Mais Kyran se promit de rester comme il était et de ne pas se mettre à favoriser les Serpentard, même si il n'aurait sans doute pas vraiment le choix. Le message que lui avait fait passer le directeur était clair : Les Serpentard d'abord. En tant qu'ancien Serdaigle mais aussi ami de Serpentard, cela ne serait pas trés dur pour lui, mais il connaissait le comportement des verts et argents...De vrais teignes. Ils n'avaient de respect pour rien ni personne, et surtout pas pour les autre élèves. La seule chose qu'il portait aux nues était leur directeur de maison, et aussi leurs petites personnes, c'était logique en tant que personne imbues d'elles même.

Mais l'heure n'était pas à la réfléxion, et Kyran s'en souvint. Il ne devrait pas tarder à faire un cours, histoire de repérer le leader des têtes blondes qu'il aurait en classe. Il redoutait le moment où il devrait se présenter. Non pas qu'il soit timide, mais il avait peur de devoir tout de suite se mettre à distribuer des punitions car on aurait fait une quelconque remarque à son sujet. Laissant ces pensées pour les moins désagrables s'échappaient, il enleva la veste d'hiver qu'il avait sur le dos pour la rouler en boule et la positionner sur la pelouse, afin de pouvoir y poser sa tête. Il était maintenant allongé, et ses yeux ne fixaient rien d'autre que la lune rousse qui avait fait son apparition depuis peu, et étrangement, un mince sourire c'était dessiné sur les lévres du jeune homme.

Alors qu'on entendait que le bruit de l'eau qui tourbillonait, des bruits de pas se firent entendre. Le jeune professeur ne réagit pas, car il savait que rien ne lui arriverait, et que de toute façon si quelqu'un l'observait depuis tout à l'heure sans se faire entendre, il serait bien incapable de rivaliser avec cette personne si discréte. Il se mit à siffloter une mélodie tout droit sortie de son imagination et continua de regarder le ciel, sans se soucier du moindre bruit.

Dans le grand château de Poudlard, une jeune fille était allongée sur son lit et fixait le plafond noir de son dortoir. Toutes les autres filles dormaient, bien paisiblement, quelques filles ronflaient ou étaient couchée de façon amusante, les bras de chaque côté du lit, la bouche ouverte. Habituellement, ça aurait fait rire la jeune fille, mais pas ce soir. Non, elle n'avait pas la tête à rire, ni même à sourire. Elle était toujours dans ses pensés et dire qu'elle détestait être renfermé sur elle même. La jeune fille vivait de vrai traumatisme les plus difficiles les uns des autres. Elle avait une vie plutôt mouvementé, ses émotions trop changeantes. Elle aurait préférée être comme autrefois. Souriante, enjouée et studieuse bien que turbulente en classe.

Mais pas cette fois, non. Elle avait eu des problèmes, du côté cœur. Elle avait, en tout premier lieux, été la petite amie d'Elliot Manrey. Ils avaient eu du bon temps, mais il laissa se croyant trop dangereux. Lacey eu ensuite une aventure de courte durée avec Hok Meeg, Serdaigle à l'époque, aujourd'hui mangemort. Elliot avait gardé son cœur. Elle le voyait toujours, mais refusait de lui parler, de penser à lui. Il avait été condamné à mort, Lacey avait crue alors possible de tournée la page et refaire sa vie. Alors, elle rencontra Kameron, qui s'avérait être son fiancée, même si elle est jeune, Lacey avait sentie qu'il était l'homme de sa vie. Mais leur couple battait de l'aile, et Lacey avait eu plus d'une dispute avec lui. Elle avait ensuite été une tornade, non, un ouragan de changement. Elliot ayant survécu, Lacey lui avait de nouveau avoué son amour, elle avait embrasé un autre jeune homme. Quelle belle chose à maître sur dans une biographie!

Et tout ça, ne comptait pas le meurtre de son père et le suicide de sa mère. Son frère qui ne lui parlait pas beaucoup. Son meilleur ami qu'elle en voyait plus, en fait, tous ses amis. La voilà maintenant seule. Toujours allongée dans son lit, Lacey soupira et se leva d'un bond, se fichant bien d'avoir froid, elle sortie dehors en camisole et en short. Elle avait prit soin de contourné les surveillant et passer par ses raccourcie secret. Les mangemorts devenaient de plus en plus bête décidément. Ils ne pensaient même pas à surveiller les élèves qui dormaient.

Elle se dirigea là ou ses pieds la guidèrent, le parc. Elle préférait ne pas s'empêcher d'allez là, elle allait peut-être rencontrer quelqu'un. Et comme de fait, Lacey vu un homme couché sur l'herbe et qui fixait le ciel. Il semblait plus âgé qu'elle. La jeune fille haussa les sourcils et vint se coucher près de lui, sans dire un mot, ni me le toucher, l'effleurer. Ses longs cheveux bruns qui touchaient le sol et qui s'entre mêlaient avec l'herbe et ses mains sous sa tête, pour lui servir d'oreiller. Elle plia les jambes et regarda le ciel. Ouais, pas mal, mais elle l'avait déjà vu tant de fois...

- C'est beau, non?

Elle ne savait pas pourquoi elle lui adressait la parole, ni même pourquoi elle était là, elle savait juste que l'homme à côté d’elle était nouveau



HG: Hahaha Faute corriger Et puis d'accord je reste faire ce RP avec toi!!

Alors qu'il en était à se demander si il ne faisait pas mieux d'enseigner la divination vu sa passion pour le ciel, il vit clairement quelqu'un faire son entrée sur la pelouse verdoyante. Une jeune fille, élève sans nul doute, venait d'arriver à ses cotés et se posait de la même façon que le jeune enseignant. Il ne fit tout d'abord pas tellement attention, puis c'est elle qui se décida à parler d'une voix basse:

-C'est beau, non?

En effet, le spectacle était agréable à regarder. Peut être même aurait-il pu passer des heures à contempler ce ciel sans se lasser. Chaque élément naturel était pour lui une chose unique, mouvante, qui change d'un jour à l'autre et dont on a toujours à apprendre. Quelques étoiles semblaient pleurer sur le triste sort de Poudlard, qui n'était plus la même école qu'avant, depuis peu. Kyran était certain qu'appart quelques moldus, le ciel était la seule chose vivante qui connaissait leur existences, celle des sorciers. C'était l'une des raison pour laquelle il préférait admirer le ciel: où qu'il soit, il sait toujours ce qu'il se passe. Et de toute maniére, mieux vallait-il admirer le ciel que Lord Voldemort, ce tyran complétement tordu.

- En effet. Si cela ne tenait qu'à moi, je dormirais ici, mais je crains que le froid ne m'emporte dans la tombe vu la température.

Il c'était surpris à parler sans même l'avoir décidé. Peut être devenait-il enfin moins réfléchi et un peu plus vif, ce qu'il n'était pas il y a peu. Il aurait presque crut entendre la voix d'un autre homme si il n'avait pas vu qu'il n'y avait qu'une autre personne dans le Parc. Une question vint le perturber:Comment cette élève avait pu passer devant les mangemorts?
Ils surveillaient chaque recoin de Poudlard jour et nuit, il était normalement impossible de passer, surtout pour un élève. Kyran avait dut batailler avec un mangemort pour le convaincre qu'il n'était pas élève mais professeur, ce que le crétin de service ne tarda pas à croire. Il pensa aussitôt aux passages secrets. Peut être que Dumbledore se doutait qu'il y aurait tous ces problémes et qu'il voulait que les élèves puissent tout de même se degourdir les jambes et qu'il avait fait construire ces passages, ou bien il s'étaient forgés seuls, dans la pierre.

Etant encore étudiant, il s'amusait à chercher des passages à chaque minutes libres et la plupart du temps, il n'en trouvait pas. Cependant la chance vint à lui une ou deux fois, car quelques passages s'étaient devoilés à lui. L'un derriére un cadre du 4 éme étage, l'autre caché entre les briques du 6 éme, où il fallait prononcer une phrase pour pouvoir entrer. Lui qui se demandait comment diable aider ses élèves, il le savait. Il faudrait qu'il s'arrange pour en faire un minimum, au moins leurs donner l'emplacement d'autres passages. Il s'assit et fit apparaître une bandouliére en cuir noir, de laquelle il sortit un bout de parchemin et une plume. Il se mit à griffoner les étages de Poudlard et à indiquer par une croix les passages secrets, et dans un coin la phrase à repéter devant celui du 6 éme. Il tapa d'un coup de baguette le parchemin, et celui-ci s'enroula sur lui même, promettant de ne s'ouvrir maintenant qu'à la personne qui le toucherait en premier. Kyran tendit le parchemin à la jeune fille et dit d'une voix rêveuse:

- Touchait le parchemin. Il ne se revellera qu'à vous seule, de cette maniére. J'y ais inscrit deux passages qui m'ont autrefois été trés utiles.Au cas ou vous ne les connaissiez pas, bien sûr. Mais, une question, de quelle maison êtes vous?

Il ne serait pas surpris de se trouver face à une Serpentard, et dans ce cas, il aurait mieux fait de ne pas donner le parchemin. Mais de toute maniére, le parchemin apparaitrait pour une page déchirée de La Gazette pour une autre personne que la sorciére, alors ce n'était pas grave. Il se dit aussi qu'une Serpentard n'aurait pas parler si gentillement, et sans nul doute aurait-elle cherché à l'enerver. Mais, la seule chose qui, à vrai dire, le laisser penser qu'elle soit une verte et argent était le fait qu'elle ait réussi à passer les mangemorts sans encombre. Il continua de s'interroger, delaissant peu à peu le ciel de son sombre regard.

(hj: mais non banane! Et pour les fautes c'est pas un drame, elles se cachent partout ces saletés!)

Le précieux parchemin fut entre les jeunes mains de l'étudiante, et Kyran se demanda si les passages étaient toujours valides. Au fil des années, il se pouvait qu'une bête s'y abbrite, ou que les murs se soient fait redresser, ou encore pleins d'autres choses. Parfois, les choses changent, même quand on ne s'y attend pas. La chose embêtante, c'est que tout, absolument tout change. Que ce soit un simple vêtement ou un logement, parfois même un sentiment, ça change. On part un jour en laissant une personne aigri derriére soi, et dix ans plus tard on retrouve la personne la plus chaleureuse du monde. C'était du bla-bla intérieure, et avant même que Kyran puisse continuer de discuter avec sa conscience, la jeune fille prit une nouvelle fois la parole.

-Je suis de Gryffondor

Tient, une rouge et or. Il aurait juré avoir affaire à une Serdaigle. Mais d'un coté, en tant qu'ancien Serdaigle, il voyait des bleus partout. Peut être que la nostalgie des études lui manquait. Se lever la matin à la bourre, manger à midi à la hâte, suivre des cours pendant 4 heures en dormant à moitié...Oui, c'était la belle vie, mine de rien. Quand on y regardais de plus prés, on travaillait toute notre vie. Enfant, on travaille pour travailler plus tard! Quelle euphémie. Et les gamins qui se disent "Je travaille maintenant, mais quand je serais grand, je ferais rien du tout!"
Et 10 ans plus tard, il sont au ministére ou on ne sais où, à travailler, bien sur. Un rire discret sortit de la bouche du professeur et il reporta son attention sur la jeune fille, qui observait à son tour les étoiles. Elle semblait avoir un bon fond, et elle n'avait pas l'air d'être une peste. Il murmura quelques mots incompréhensibles et se rallongea dans l'herbe.

Il pensait aux créatures de la forêt. Que pouvaient-elles faire de passionant? Appart du bois et des feuilles, il n'y avait rien. Kyran lui-même, qui pourtant s'amuse avec un rien, trouvait que les bois étaient déprimant. Les pauvres bêtes...Mais de toutes maniéres, les loup-garous qui résidaient maintenant dans la forêt ne ferais qu'une bouchée des centaures, licornes et autre bêtes au sang chaud. Une amie de Kyran était d'ailleurs un loup-garou...C'était assez effrayant d'être en sa compagnie, car elle semblait un peu impulsive, et elle avait des dents pointus, toujours sorties.

La structure de Poudlard était si belle...C'était malheureux de voir tout cela gaché par des idiots qui ne savent pas coincés une bande d'adolescents attardés dans un couloir...Kyran en était encore à se demander pourquoi le seigneur des ténébres ne demandait pas aux mangemorts de lui montrer leurs buses avant, histoire d'engager des gens compétents. Certaine torturaient même les enfants...C'est abjecte, mais je ne peux rien y faire, se disait Kyran. Il n'écoutait plus aussi souvent sa conscience qu'avant, car lui ayant fait perdre sa seule utopie, il ne la considérait plus comme fiable. Mais il avait appris beaucoup sur la psychologie grace à tout cela, même si le prix à payer avait été un peu trop élèvé.

Il se décida enfin à parler, en cherchant à croiser le regard de la jeune fille.

- Gryffondor...Les courageux. Et bien, heureux d'avoir fait votre connaissance, Mlle de Gryffondor! Mais, puis-je savoir quel est votre patronyme entier? Ah, et aussi, le passage du quatriéme deboule au pied du saule cogneur, ce qui peut vous permettre d'aller à Pré au Lard, et l'autre vous améne dans le Parc, au dessous de la fenetre du cours de Métamorphose, me semble-t'il.

Ses souvenirs se faisaient vagues, plus de dix ans qu'il n'avait pas franchi ces passages, alors se les mémoriser, c'était assez complexe. Il attendit une réponse de la jeune fille tout en cirant sa baguette, histoire qu'elle soit toujours propre et net.

A peine eut il terminé de cirer sa baguette que la jeune fille répondit à sa question. Il était tout de même élémentaire de connaître le nom des gens, avant d'entrer dans une véritable conversation. Il regardait le ciel, et il était sûr que dans ses yeux brillait la même lueur que lorsque il était enfant, celle de l'émerveillement, qui n'avait jamais cesser d'exister chez lui. Il fallait dire qu'un rien l'impressionait. Quand il allait au ministére, il était ébahi devant la beauté des colonnes de marbre, et quand on lui présentait un travail de gobelin, c'était pire. On aurait pu croire qu'il était dans une sorte de transe. Ses yeux lançaient des éclairs d'émerveillement. Mais bon, là il n'était pas devant un travail de gobelin, alors vite, qu'il se ressaisisse!

Il jeta à son tour un coup d'oeil en direction de la jeune fille. La révélation qu'elle lui avait faites le fit sourire. Elle devait sans doute en avoir du courage, mais caché tout au fond d'elle. Elle lui avait demandé de se présenter, et ben il allait le faire.

- Oh, moi? Je suis Kyran Knighley, le nouveau professeur de Botanique! Je n'ai pas eus l'impression que les élèves de Poudlard aiment beaucoup cette matiére...Mais bon!

Il eut un grand sourire et tourna la tête en direction de la jeune fille. Il lui sourit quelques minutes, mais il voulait regarder ce qu'il se passait dans la forêt. Des vapeurs s'élèvant en spirales rosée, et Kyran savait à quoi c'était du:

- Tien, les centaures brulent de la mauve douce...Je n'ai jamais su pourquoi ils faisaient aussi de la divination...Enfin...

Il s'interromput et ferma les yeux, comme pour se ressourcer.

AH comme ça s'était un prof, de botaniquue en plus! Lacey le regarda et svaait bien que la botanique n'attirait pas tout les élèves, mais Lacey aimait bien, alors elle irait certainement à son cour. La jeune fille se redressa doucement, à présent assise sur l'herbe, caressant du bout de ses doits la douce texture de la pelousse fraîche et froide. Lacey le regarda et vit ses yeux se détourner des siens pour regarder le bois, ou plutôt, la forêt interdite. Lacey tourna sa tête à son tour pour regarder et vit une couleur, des nuages rosés qui montait doucement dans le ciel noir pour finalement disparaître. Lacey souria discrètement et puis tourna sa tête de nouveau vers le prof qui parla des centaures. À vraie dire, Laceu ne connaissait pas grand chose des créatures magiques, ce n'était pas son intérêt premier. Mais, ces bêtes avaient toujours sucités chez Lacey une grande admiration. Ces bêtes qui avaient eu tant de préjugée sur leur façon de voir la vie était plutôt intelligent et s'était peut-être eu qui voyait réellement le vraie monde...

Lacey regarda le prof et puis dit tranquillement:

- Je ne le sais pas plus que vous professeur, je croyait que vous pouriez être en mesure de me le dire. Je ne connais pas vraiment la divination, en fait, je n'ai jamais vraiment aimée...


HG: Désolée, c'est court --'

Il avait toujours ses yeux bruns plongés dans les nuages de fumée. Les voluptées s'élèvées gracieusement en arrondis parfait et s'envolaient dans l'air, comme si de rien n'était. Il aurait aimé savoir decripter ces signaux, savoir ce qu'ils voulaient dire...Mais il ne saurait jamais rien de tout cela, il n'était pas un centaure. Une expédition dans la Forêt Interdite l'aurait bien tenté maintenant, mais bon, en présence d'élève, c'était pas top. Il ne se dirigea donc nul part et resta assis, puis fut troublé par les paroles de son élève.


- Je ne le sais pas plus que vous professeur, je croyait que vous pouriez être en mesure de me le dire. Je ne connais pas vraiment la divination, en fait, je n'ai jamais vraiment aimée...

Lui non plus, il n'aimait pas la divination. C'était la matiére qu'il detestait, aprés l'Arithmancie. Il n'y comprenait rien, et la professeur qu'il avait n'arrangeais rien non plus. La plupart du temps, il n'allait pas à ce cours ou alors il se laissait présager des évenement heureux, même si 10 minutes plus tard il se faisait mettre en reteue. Il sourit à la jeune élève et dit:

- Moi non plus. Je crois qu'il sont passionés du ciel et des astres. Mais la divination, j'en ai suivi 4 cours serieusement, c'est tout. Alors je ne peux rien t'indiquer.

Il rit quelques minutes puis se tut, laissant le silence du paysage envahir son esprit.

(hj : T'inquiéte pas, moi aussi il était court!!!)